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Lifestyle - Disparition

Dave Brubeck, l’icône d’un jazz consensuel

Kimberly White/archives/Reuters

Son célèbre hymne Take Five a fait le tour du globe : décédé mercredi à la veille de son 92e anniversaire, le pianiste américain Dave Brubeck était devenu l’icône d’un jazz consensuel qui a suscité la ferveur du public et le scepticisme de certains puristes. Ce grand admirateur de Duke Ellington avait accédé au rang de légende aux États-Unis, où il s’est produit en concert devant chacun des présidents depuis John Kennedy et où il avait eu les honneurs de la une du magazine Time dans les années 1950.
Né le 6 décembre 1920 à Concord, en Californie, le jeune Brubeck passe son enfance dans un ranch entouré de mélomanes. Sa mère enseigne le piano et ses deux frères aînés deviendront comme lui des musiciens professionnels. À 18 ans, Dave Brubeck s’oriente d’abord vers une carrière de vétérinaire. Mais, finançant ses études en jouant dans des clubs autour de son campus, il finira par bifurquer vers le département musique de son université. Malgré le succès international, il avait su rester humble. Marié depuis 1942, Dave Brubeck était père de six enfants.

(Source : AFP)
Son célèbre hymne Take Five a fait le tour du globe : décédé mercredi à la veille de son 92e anniversaire, le pianiste américain Dave Brubeck était devenu l’icône d’un jazz consensuel qui a suscité la ferveur du public et le scepticisme de certains puristes. Ce grand admirateur de Duke Ellington avait accédé au rang de légende aux États-Unis, où il s’est produit...

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