L’objectif de Jean-Marc Gaucher, PDG de l’entreprise, est de la diffuser à travers le réseau de magasins à l’enseigne (60 à la fin de l’année) et des corners en grands magasins. « C’est pour cela qu’il fallait un nombre de pièces suffisant », souligne Jean-Marc Gaucher.
Le style se veut dans la droite ligne des codes de la marque née de la danse. « Les matières sont importantes, souligne le PDG de Repetto. Comme les couleurs. Il n’y aura pas d’imprimés par exemple. » Elle est fabriquée en Italie et en France pour des prix évoluant entre 250 et 350 euros.
Malgré la morosité ambiante, Repetto annonce une progression attendue de plus de 20 % de son chiffre d’affaires cette année. La part de l’export est de plus de 50 % des ventes aujourd’hui. Les prochaines ouvertures de magasins à l’enseigne sont d’ailleurs surtout à l’étranger, à l’exception d’un point de vente en décembre à Aix-en-Provence. Elles concernent le Moyen-Orient, les Philippines, le Japon où la marque compte déjà 20 unités, la Corée (deux magasins qui s’ajoutent aux sept existants) et Hong Kong, là aussi deux vitrines en plus des deux existantes.