Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a rejeté hier les accusations selon lesquelles il s’ingérerait dans la politique américaine. Cette semaine, M. Netanyahu a dit des nations qui n’avaient pas réussi à imposer une « ligne rouge » à l’Iran qu’elles n’avaient pas « le droit moral » d’empêcher Israël de frapper militairement la République islamique. Ces propos visaient clairement les États-Unis et l’administration Obama sans toutefois les nommer. Moins de deux mois avant l’élection présidentielle américaine, M. Netanyahu a été critiqué pour ces déclarations qui, selon certains, marquent une tentative d’interférer dans l’élection américaine. « C’est absurde car ce qui me guide, ce n’est pas l’élection aux États-Unis, mais les centrifugeuses en Iran », a-t-il dit hier.
Moyen Orient et Monde
Israël
OLJ / le 15 septembre 2012 à 23h51
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a rejeté hier les accusations selon lesquelles il s’ingérerait dans la politique américaine. Cette semaine, M. Netanyahu a dit des nations qui n’avaient pas réussi à imposer une « ligne rouge » à l’Iran qu’elles n’avaient pas « le droit moral » d’empêcher Israël de frapper militairement la République islamique. Ces propos visaient clairement les États-Unis et l’administration Obama sans toutefois les nommer. Moins de deux mois avant l’élection présidentielle américaine, M. Netanyahu a été critiqué pour ces déclarations qui, selon certains, marquent une tentative d’interférer dans l’élection américaine. « C’est absurde car ce qui me guide, ce n’est pas l’élection aux États-Unis, mais les centrifugeuses en Iran », a-t-il dit hier.