Dans le communiqué final publié après la session du dialogue national qui a eu lieu aujourd’hui au palais présidentiel de Baabda, les participants appellent à renforcer la situation sécuritaire à la frontière libano-syrienne.
Il est également dit que le Liban a le droit d’accueillir des réfugiés et de leur offrir une aide humanitaire, et que la région frontalière libano-syrienne ne doit pas devenir un passage pour le trafic d'armes ou un paradis des groupes armés.
Les participants appellent également à soutenir l’armée moralement et matériellement.
Ils appellent aussi à renforcer la stabilité et à préserver la paix civile au Liban.
La prochaine session aura lieu le 25 juin.
A l'issue de la session, Michel Aoun a déclaré que les discussions avaient été "très positives". "Nous sommes d'accord sur tout", a-t-il ajouté.
Le dialogue national entre les différentes forces politiques libanaises a repris lundi après un an et demi d'interruption et en pleine tourmente chez le voisin syrien secoué par une révolte populaire réprimée dans le sang.
Cette session devait être axée sur les questions de l'armement du Hezbollah et de la détention anarchique des armes dans le pays.
Les précédentes sessions de ce dialogue intitulé "Stratégie nationale de défense" n'avaient enregistré aucun progrès, tant les antagonismes sont profonds entre les différentes forces politiques.
Il est également dit que le Liban a le droit d’accueillir des réfugiés et de leur offrir une aide humanitaire, et que la région frontalière...
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