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Culture

Musique sacrée et profane pour vendredi

Le vendredi 16 mars, l’église Saint-Joseph servira d’écrin à la musique de l’Amérique latine, sacrée et profane, avec deux compositeurs phares: Heitor Villa-Lobos et Astor Piazzolla.
Pour ces partitions de soleil, de paysages de mer et de rythmes, mais aussi partitions empreintes de spiritualité, la soprano Guadalupe Jimenez, le bandonéoniste Mario Pietrodarchi, le Chœur de l’Université antonine sous la houlette de père Toufic Maatouk et l’Orchestre philharmonique libanais placé sous la direction de Gianluca Marciano.
Née à Mexico, Guadalupe Jimenez a fait ses études dans sa ville natale pour les terminer ensuite avec des «master class » au Metropolitan Opera House de New York. De Carmina Burana à la Symphonie n° 8 de Mahler, en passant par les Noces de Stravinsky, le Requiem de Dvorak, le Gloria de Vivaldi, le Messie de Haendel et divers oratorios de Mozart, son talent de soliste a été aussi bien salué par le public que par la presse.
Le vendredi 16 mars, l’église Saint-Joseph servira d’écrin à la musique de l’Amérique latine, sacrée et profane, avec deux compositeurs phares: Heitor Villa-Lobos et Astor Piazzolla.Pour ces partitions de soleil, de paysages de mer et de rythmes, mais aussi partitions empreintes de spiritualité, la soprano Guadalupe Jimenez, le bandonéoniste Mario Pietrodarchi, le Chœur...

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