Parmi les sept ministres figurent celui de la Santé Waël el-Halki, accusé d’interdire aux opposants l’accès aux soins médicaux, et son collègue des Télécommunications, Imad Sabouni, auquel l’UE reproche d’entraver le travail de la presse. Le ministre des Transports Fayçal Abbas et celui de l’Éducation Saleh el-Rachid sont quant à eux visés pour l’appui logistique apporté à la répression et pour avoir autorisé les détentions dans des établissements scolaires. Soufian Alao et Adnane Salakho, respectivement ministres du Pétrole et de l’Industrie, sont également du nombre, tout comme le conseiller présidentiel Mansour Fadlallah Azzam.
Outre l’extension de la liste des personnalisés visées, les États membres de l’UE se sont entendus lundi pour interdire le commerce de l’or et d’autres métaux précieux avec Damas, ainsi que les vols cargos en provenance de Syrie. Les nouvelles sanctions visent par ailleurs la Banque centrale.
commentaires (0)
Commenter