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Lifestyle

Quelqu'un m'a dit...

Le BAC à l’échelle Richter

Plus de 80 personnes dont Élias Maamary, Maroun Salloum, Mohammad Maktabi, Nabil et Ghada Dada (avec leur fils Adib), les architectes Bernard Khoury et Youssef Tohmé, Farida Sultan (débarquant tout droit du Koweït), Ibrahim et Kayleen Saïdi, Johnny et Cyn Farah, Ahmad Husseini, Marco et Jaquot Ayoub étaient présents au fund-raising dinner du Beirut Art Center offert par Maria Osseimi dans sa demeure à Gemmayzé. S’improvisant DJ, l’économiste Élie Baroudi a débarqué avec ses CD pour animer une soirée très jazzy, alors qu’en Dries Van Noten pailleté, son épouse Hoda rivalisait d’élégance avec May Daouk qui brillait dans une robe argentée Lanvin. Quant à Lamia Gereige, elle pouvait s’enorgueillir d’annoncer un événement culturel majeur qui marquera l’année 2012 : une exposition du célèbre artiste allemand Gerhard Richter qui après Londres (la Tate Modern), Berlin, Dresde et Paris, sera accueillie au BAC. Le fait qu’une de ses toiles se soit vendue 12 millions d’euros à Londres (un prix que l’artiste est le premier à juger exorbitant !) n’a pas coupé l’appétit des invités, bien au contraire ; les plats concoctés par Hajj Nicolas (Audi) ont été dégustés sans modération.

Télé sans caméra

Marcel Ghanem loves Paris. D’ailleurs, il a failli y mourir de bonheur. Au cours d’une même soirée, autour d’une même table, il a eu droit à un plateau qu’il aurait eu du mal à concocter pour Kalam el-nas : le président du Conseil Nagib Mikati (avec May), le gouverneur de la Banque centrale Riad Salamé, le directeur de l’École des affaires internationales de Sciences-Po de Paris et ancien ministre Ghassan Salamé (et Mary) ainsi que l’Académicien et prix Goncourt Amin Maalouf (et Andrée). Tous réunis à dîner chez l’ambassadeur du Liban Boutros Assaker et son épouse Najla Riachi. Présents aussi, Georges et l’ambassadrice du Liban à l’Unesco Sylvie Fadlallah, Mazen Hayek, Joe Issa el-Khoury, Camille et Rima Tawil, Farès Gemayel, Stephan Hajji Thomas et son épouse. Signalons que Marcel Ghanem prépare une émission dédiée à l’auteur du Rocher de Tanios.

Superministre supermotard

Ziyad Baroud a décidé de foncer encore et encore. Avec sa nouvelle moto BMW, il a troqué son costume d’ancien ministre avec celui, plus cuir, plus hot, de motard. Et sur les routes embouteillées, cela devrait être l’extase. Le fun. Mais out les risques inutiles, parce que l’on tient à lui. D’ailleurs, il le sait. Aussi, pour l’habillement, il s’est acheté des bottes de moto blindées, des casques de qualité, des vêtements de pluie et des accessoires en double (dont les gants). En bref, tout est bien vérifié pour aller au boulot. Il se changera en arrivant. Il a un stock de costumes et chemises qu’il envoie au pressing près de son bureau. En attendant qu’il grave Linda je t’aime sur son dos, un peu comme le héros d’Édith Piaf.

Now, le temps d’Aïshti

Aïshti, synonyme d’art contemporain ? C’est ce qu’a découvert, au centre culturel de Jamhour, un public de quelque 200 personnes parmi lesquelles l’ancien ministre Raymond Audi (et May), l’ambassadeur de France Denis Pietton, Samir Abillama, Charles et Lucienne Azar, Jimmy et Marianne Barakat, Jean Marie et Dany Megarbané, et Ghaleb Mahmassani, accueillis par le recteur du collège, le RP Sion. L’exposition, intitulée Now, donnait à voir une vingtaine d’œuvres signées Doug Aitken (artiste américain réputé pour ses installations vidéo), Nate Lowman (dont le travail, mélange collages, dessins, graffiti, objets, a été exposé au palazzo Grassi), le New-Yorkais Dan Colen, l’un des poulains du célèbre galeriste Larry Gagosian, Rosson Crow, Kristin Baker, Kehinde Wiley, Aaron Young, etc. En bref, un petit échantillon du millier que comprend la collection de la Fondation Aïshti. En attendant de trouver place dans ses propres locaux qui seront prêts en 2014 dans le prolongement de l’Aïshti seaside, une partie de cette collection, dit-on, est actuellement prêtée à quelques grands musées du monde, comme le Louvre, le Whitney Museum, le musée de Philadelphia et le Moca de Californie. Jérôme Sans, le cofondateur du Palais de Tokyo, sera le conservateur de ce futur musée privé d’art contemporain. À la tête de cette prestigieuse initiative, Tony Salamé a raconté sa passion et la manière dont l’art contemporain, associé à la mode par le truchement de la communication, a donné à Aïshti une visibilité sur les plus belles cimaises du monde.

Sur la route d’Antélias...

Terminée l’image traditionnelle de la station-service uniquement gérée par le sexe masculin. Vêtues de jeans, chaussées de bottes et de lunettes, Elsie Nassar, pharmacienne dans une importante société de médicaments, et sa nièce Najat, qui travaille au département des ressources humaines dans une entreprise privée, ont dédié leurs week-ends et jours fériés à la vente de carburant ! Les deux jeunes femmes (à peine la trentaine chacune) s’activent, du matin jusqu’à minuit, auprès des clients, offrant une image conviviale et une qualité de service impeccable... La famille ayant connu un revers de fortune, elles s’investissent pour remonter la pente. L’expérience n’en est pas moins stimulante, affirment-elles avec un large sourire.
Le BAC à l’échelle RichterPlus de 80 personnes dont Élias Maamary, Maroun Salloum, Mohammad Maktabi, Nabil et Ghada Dada (avec leur fils Adib), les architectes Bernard Khoury et Youssef Tohmé, Farida Sultan (débarquant tout droit du Koweït), Ibrahim et Kayleen Saïdi, Johnny et Cyn Farah, Ahmad Husseini, Marco et Jaquot Ayoub étaient présents au fund-raising dinner du Beirut...

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