L’ailier gauche des Spurs, Benoît Assou-Ekotto, a été déterminant dans la victoire de Tottenham face à Everton. Le Camerounais a inscrit le 2e but de son équipe d’une superbe frappe du gauche en pleine lucarne. Ian Kington/AFP
Après 51 ans d’attente, Tottenham peut rêver à un nouveau titre. Les Spurs n’ont en effet pas laissé passer l’occasion de s’immiscer sérieusement dans la course au titre à l’occasion de leur match en retard de la 1re journée face à Everton (2-0).
Les voilà désormais à égalité avec Manchester United avec 45 points et sur les talons de City, qui pointe à seulement trois longueurs. Seule une différence de buts défavorable (+18 contre +29) les maintient sur la troisième marche du podium. Mais, avec 14 victoires en 20 matches, le club de Londres signe son meilleur début de saison depuis la saison 1960-61. Ils avaient alors remporté le titre. Autant dire que les motifs d’espoirs existent pour Gareth Bale et sa bande. Derrière, Chelsea est déjà repoussé à 8 points et le voisin Arsenal à 9 points. Qu’on se le dise, cette saison, la course au titre se résumera à un match à trois.
Assou-Ekotto était partout
À White Hart Lane, les Spurs ont affiche un visage de champion.
Les Toffees, qui ont perdu son défenseur Sylvain Distin sur blessure, n’ont pratiquement pas eu de possibilité de marquer, à l’exception d’une tête de Marouane Fellaini au-dessus de la barre transversale. C’est bien simple, Brad Friedel n’a pas eu le moindre arrêt à faire.
Pas de quoi néanmoins inquiéter Tottenham, qui a marqué lors de chacune de ses 19 dernières sorties en Premier League. Et ce match n’a pas échappé à la règle. Aaron Lennon a ouvert le score à la 35e minute (1-0) avant que Benoît Assou-Ekotto, déjà l’origine de l’ouverture du score, ne double la mise d’un missile de plus de 35 mètres déviée par le milieu d’Everton Tim Cahill (63e, 2-1).
Même privée de Scott Parker, Sandro ou William Gallas, cette équipe de Tottenham a fière allure. Par rapport à la victoire face à Cheltenham en FA Cup (3-0), Harry Redknapp n’avait opéré pas moins de huit changements avec notamment les titularisations de Van der Vaart, Dawson, Lennon et Livermore. Mais toujours la même réussite malgré la présence de Jermain Defoe sur le banc au coup d’envoi.
Dans le sillage de Gareth Bale et Benoît Assou-Ekotto, dont les transversales ont encore été un atout précieux, les Spurs ont montré qu’ils étaient suffisamment armés pour rivaliser avec les deux géants de Manchester. Pour la première fois de l’histoire de la Premier League, les trois premiers au classement comptent 45 points ou plus. Désormais, on ne peut plus ignorer Tottenham lorsque l’on parle du titre.
Les voilà désormais à égalité avec Manchester United avec 45 points et sur les talons de City, qui pointe à seulement trois longueurs. Seule une différence de buts défavorable (+18 contre +29) les maintient sur la troisième marche du podium. Mais, avec 14 victoires en 20 matches, le club de Londres signe son meilleur début de saison depuis la saison 1960-61. Ils avaient alors remporté le titre. Autant dire que les motifs d’espoirs existent pour Gareth Bale et sa bande. Derrière, Chelsea est déjà repoussé à 8 points et le voisin Arsenal à 9 points. Qu’on se le dise, cette saison, la course au titre se résumera à un match à trois.
Assou-Ekotto était partout
À White Hart Lane, les Spurs ont affiche un visage de champion.
Les Toffees, qui ont perdu son défenseur Sylvain Distin sur blessure, n’ont pratiquement pas eu de possibilité de marquer, à l’exception d’une tête de Marouane Fellaini au-dessus de la barre transversale. C’est bien simple, Brad Friedel n’a pas eu le moindre arrêt à faire.
Pas de quoi néanmoins inquiéter Tottenham, qui a marqué lors de chacune de ses 19 dernières sorties en Premier League. Et ce match n’a pas échappé à la règle. Aaron Lennon a ouvert le score à la 35e minute (1-0) avant que Benoît Assou-Ekotto, déjà l’origine de l’ouverture du score, ne double la mise d’un missile de plus de 35 mètres déviée par le milieu d’Everton Tim Cahill (63e, 2-1).
Même privée de Scott Parker, Sandro ou William Gallas, cette équipe de Tottenham a fière allure. Par rapport à la victoire face à Cheltenham en FA Cup (3-0), Harry Redknapp n’avait opéré pas moins de huit changements avec notamment les titularisations de Van der Vaart, Dawson, Lennon et Livermore. Mais toujours la même réussite malgré la présence de Jermain Defoe sur le banc au coup d’envoi.
Dans le sillage de Gareth Bale et Benoît Assou-Ekotto, dont les transversales ont encore été un atout précieux, les Spurs ont montré qu’ils étaient suffisamment armés pour rivaliser avec les deux géants de Manchester. Pour la première fois de l’histoire de la Premier League, les trois premiers au classement comptent 45 points ou plus. Désormais, on ne peut plus ignorer Tottenham lorsque l’on parle du titre.
Après 51 ans d’attente, Tottenham peut rêver à un nouveau titre. Les Spurs n’ont en effet pas laissé passer l’occasion de s’immiscer sérieusement dans la course au titre à l’occasion de leur match en retard de la 1re journée face à Everton (2-0). Les voilà désormais à égalité avec Manchester United avec 45 points et sur les talons de City, qui pointe à seulement...
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