L'émir, cheikh Sabah al Ahmad al Sabah, a dissous le parlement koweitien le 6 décembre dernier, après la démission fin novembre du gouvernement. Cette crise politique a été principalement déclenchée par des accusations de mauvaise gestion et de corruption des députés d'opposition contre l'ex-Premier ministre cheikh Nasser al Mohammad al Sabah, neveu de l'émir.
Le Koweït, quatrième exportateur mondial de pétrole, possède le parlement le plus ouvert des pays du Golfe mais les partis politiques n'y sont pas autorisés. Les élus ne représentent qu'eux-mêmes et s'allient au gré des événements.
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