« Nous avons 10 ministres et malgré cela, ils ne nous laissent aucune liberté pour exercer nos prérogatives », a-t-il accusé, affirmant que si « les choses restent en l’état, notre présence au gouvernement deviendrait inutile ».
« Nous sommes prêts à toutes les éventualités et nous refusons que quiconque nous menace dans cette équipe. On nous demande d’abdiquer et cela est inacceptable ; personne ne veut trancher les scandales du ministère des Finances ni nommer un président du Conseil supérieur de la magistrature, sans compter notre projet sur l’électricité, tronqué au final, et celui sur l’eau, toujours pas approuvé », a tonné le chef du CPL.
commentaires (4)
Ce gouvernement est devenu une kermesse. Et dire que certains en sont satisfaits !...
Robert Malek
10 h 38, le 26 novembre 2011