Organisée par l’École de traducteurs et d’interprètes de Beyrouth (ETIB), cette journée a été marquée par trois temps forts. Dans un premier temps, Marianne Lederer s’est prêtée volontiers au débat mené par Elsa Yazbek Charabati, chef de la section d’interprétation à l’ETIB, et animé, d’une part, par les professeurs, maîtres de conférences et responsables de l’ETIB, puis, d’autre part, par les étudiants eux-mêmes.
Le deuxième temps fort de la journée a été consacré au lancement de l’ouvrage Thèses et Synthèses de la collection « Sources Cibles », qui rassemble la synthèse en français de cinq thèses de doctorat soutenues à l’ETIB et dont la signature a eu lieu à l’issue de la séance. Ainsi, une table ronde animée par le doyen de la FLSH, Jarjoura Hardane, a été l’occasion de faire le point sur la recherche traductologique à l’ETIB. Chacune des participantes à cette table ronde a alors exposé de manière originale sa thèse de doctorat. Traduire la forme, la formation professionnelle des traducteurs, la traduction spécialisée notamment celle des textes médicaux, l’histoire de la traductologie arabe et la scientificité de la traductologie ont été les sujets des interventions respectives de Gina Abou Fadel Saad, professeure associée, conseillère aux études et chef de la section de traduction à l’ETIB ; Nadine Riachi Haddad, maître de conférences et directrice adjointe du CEL ; Lina Sader Feghali, maître de conférences, et May Hobeika el-Haddad, maître de conférences et chef de la section Certa.
La journée s’est terminée par la remise du prix Joseph Zaarour aux élèves lauréats des différentes écoles qui participent chaque année au concours Joseph Zaarour de la meilleure traduction.
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