José Mourinho, « The special one », pourrait prendre, le temps des deux matches barrages de mi-novembre contre la Bosnie, les rênes de la sélection nationale du Portugal aux dépens de l’actuel entraîneur Paulo Bento.
José Mourinho est une icône. Au Portugal encore plus qu’ailleurs. Alors, quand la Seleçcao est en danger, la tentation est grande de se tourner vers le « special one ». Mourinho sauveur de la patrie, la Fédération portugaise y penserait à nouveau pour les deux matches de barrages face à la Bosnie, les 11 et 15 novembre prochain, selon les quotidiens espagnols El Mundo et Marca. L’actuel sélectionneur, Paulo Bento, est en effet sous le feu des critiques après la défaite lors de la rencontre décisive face au Danemark (2-1). Ses choix seraient la principale cause de la crise traversée par l’équipe nationale, notamment son entêtement à titulariser Helder Postiga à la pointe de l’attaque. Résultat : le Portugal n’a toujours pas son billet pour l’Euro 2012, malgré la présence dans ses rangs de Cristiano Ronaldo, un des meilleurs joueurs du monde.
Plébiscité par les joueurs
Mourinho au chevet de la sélection, l’idée n’est pas nouvelle. La fédération a déjà tenté le coup l’année dernière. Après un début de campagne catastrophique (un match à domicile face à Chypre 4-4 et une défaite en Norvège 0-1), elle avait déjà tenté de débaucher l’entraîneur auprès du Real Madrid pour tenter de redresser la situation. Finalement, Bento avait pris les rênes de la sélection, mais Mourinho n’avait pas été insensible à cette première approche. « Pour une question de fierté personnelle et par passion pour le Portugal, je ne pouvais pas dire non, mais je ne peux pas dire oui non plus », avait-il avancé pour expliquer son refus. La nouveauté, c’est que les joueurs eux-mêmes réclameraient son aide en interne, assure El Mundo. Outre son charisme, Mourinho entretient une excellente relation avec Ronaldo et pourrait réintégrer Ricardo Carvalho, écarté par Bento.
Autant d’atouts qui ont visiblement séduit la fédération, les joueurs et les supporters. Selon le quotidien, la FPF pourrait donc demander une nouvelle fois à Florentino Perez l’autorisation de pouvoir disposer de Mourinho pour ces deux matches cruciaux. Si le coach avait hésité l’an passé, pas sûr que la réponse du club merengue soit différente cette fois. Le quotidien portugais Record rappelle d’ailleurs que la fédération soutient toujours ouvertement Paulo Bento. Ce dernier se montre quant à lui hermétique aux rumeurs. « Je reste confiant, l’année prochaine nous allons jouer en Pologne et en Ukraine », a-t-il assuré à l’issue du tirage au sort des barrages. Affaire à suivre...
Plébiscité par les joueurs
Mourinho au chevet de la sélection, l’idée n’est pas nouvelle. La fédération a déjà tenté le coup l’année dernière. Après un début de campagne catastrophique (un match à domicile face à Chypre 4-4 et une défaite en Norvège 0-1), elle avait déjà tenté de débaucher l’entraîneur auprès du Real Madrid pour tenter de redresser la situation. Finalement, Bento avait pris les rênes de la sélection, mais Mourinho n’avait pas été insensible à cette première approche. « Pour une question de fierté personnelle et par passion pour le Portugal, je ne pouvais pas dire non, mais je ne peux pas dire oui non plus », avait-il avancé pour expliquer son refus. La nouveauté, c’est que les joueurs eux-mêmes réclameraient son aide en interne, assure El Mundo. Outre son charisme, Mourinho entretient une excellente relation avec Ronaldo et pourrait réintégrer Ricardo Carvalho, écarté par Bento.
Autant d’atouts qui ont visiblement séduit la fédération, les joueurs et les supporters. Selon le quotidien, la FPF pourrait donc demander une nouvelle fois à Florentino Perez l’autorisation de pouvoir disposer de Mourinho pour ces deux matches cruciaux. Si le coach avait hésité l’an passé, pas sûr que la réponse du club merengue soit différente cette fois. Le quotidien portugais Record rappelle d’ailleurs que la fédération soutient toujours ouvertement Paulo Bento. Ce dernier se montre quant à lui hermétique aux rumeurs. « Je reste confiant, l’année prochaine nous allons jouer en Pologne et en Ukraine », a-t-il assuré à l’issue du tirage au sort des barrages. Affaire à suivre...
José Mourinho est une icône. Au Portugal encore plus qu’ailleurs. Alors, quand la Seleçcao est en danger, la tentation est grande de se tourner vers le « special one ». Mourinho sauveur de la patrie, la Fédération portugaise y penserait à nouveau pour les deux matches de barrages face à la Bosnie, les 11 et 15 novembre prochain, selon les quotidiens espagnols El Mundo et Marca. L’actuel sélectionneur, Paulo Bento, est en effet sous le feu des critiques après la défaite lors de la rencontre décisive face au Danemark (2-1). Ses choix seraient la principale cause de la crise traversée par l’équipe nationale, notamment son entêtement à titulariser Helder Postiga à la pointe de l’attaque. Résultat : le Portugal n’a toujours pas son billet pour l’Euro 2012, malgré la présence dans ses rangs de Cristiano...