« Le gouvernement dont le chef affirme vouloir respecter les engagements internationaux du Liban comprend toujours des éléments qui défient ouvertement le TSL et flétrissent toute coopération avec cette instance. En outre, certaines de ses composantes continuent de protéger les suspects dans l’assassinat du président Rafic Hariri », a ajouté le communiqué.
Par ailleurs, le bloc du Futur a dénoncé « les tentatives du Hezbollah d’étendre progressivement la force dissuasive de ses armes à de nouveaux espaces qui sont du ressort de l’État » et d’octroyer à ces armes de nouvelles fonctions.
Après les richesses pétrolières du Liban, le Hezbollah prétend vouloir protéger « la coexistence », s’indigne le Futur, qui soupçonne le Hezbollah de vouloir progressivement se substituer à l’État libanais.
« Le peuple libanais (...) ne permettra pas que, par des moyens divers, et d’abord par l’intimidation politique et idéologique, le Hezbollah accomplisse ce coup d’État », a affirmé le communiqué.
Sur un autre plan, le bloc du Futur a flétri la manière dont le ministre des Télécoms, Nicolas Sehnaoui, a pénétré par effraction au deuxième étage du bâtiment des télécoms. « C’est un scandale ! Il s’agit là d’une offense à l’État et aux institutions ! » a jugé le bloc parlementaire.
Enfin, le bloc parlementaire a apporté un appui enthousiaste à la démarche du président palestinien Mahmoud Abbas et manifesté « sa solidarité et son appui, et la fierté qu’il tire de l’intifada pacifique de l’héroïque peuple syrien ».
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