Le président français Nicolas Sarkozy a mis en garde contre "des conflits qui durent depuis 60 ans" et qui pourraient "empoisonner" le printemps arabe, faisant ainsi clairement allusion au conflit israélo-palestinien, mardi à l'ONU lors d'un sommet sur la Libye.
"Nous, les pays européens, nous avons toléré des régimes que nous n'aurions jamais dû tolérer (...) J'ai confiance dans l'avenir de la Libye. Il y aura des hauts, il y aura des bas mais il n'appartient à personne de pouvoir faire revenir en arrière ceux qui se sont libérés les armes à la main", a affirmé M. Sarkozy.
Selon le chef de l'Etat, "cela fait peser sur nos épaules une autre responsabilité. Puisque enfin les sociétés arabes bougent vers la liberté, alors prenons garde que des conflits qui durent depuis 60 ans ne viennent empoisonner la construction de la démocratie dans les pays musulmans", a-t-il ajouté, en claire allusion au conflit israélo-palestinien.
"Non seulement la rue arabe nous donne une obligation d'agir, mais elle condamnerait toute forme d'immobilisme", a-t-il ajouté.
"Ce début du XXIe siècle ne nous réserve pas beaucoup de bonnes surprises. Nous n'avons à gérer que des crises nouvelles, crise économique, crise financière, crise de la famine, crise de la pauvreté. Partout où nous portons le regard, ce ne sont que complications et difficultés", a-t-il également affirmé.
Mais, "il y a eu une bonne nouvelle: les révolutions arabes", a-t-il soutenu.
"Quand nous avons vu la rue arabe descendre pour réclamer la liberté et la démocratie, nous avons mis du temps à réagir, étonnés que nous étions, stupéfaits que nous étions, devant ce changement considérable", a également affirmé le président français, citant la Tunisie, l'Egypte et la Libye.
"Nous, les pays européens, nous avons toléré des régimes que nous n'aurions jamais dû tolérer (...) J'ai confiance dans l'avenir de la Libye. Il y aura des hauts, il y aura des bas mais il n'appartient à personne de pouvoir faire revenir en arrière ceux qui se sont libérés les armes à la main", a affirmé M. Sarkozy.
Selon le chef de l'Etat, "cela fait peser sur nos épaules une autre responsabilité. Puisque enfin les sociétés arabes bougent vers la liberté, alors prenons garde que des conflits qui durent depuis 60 ans ne viennent empoisonner la construction de la démocratie dans les pays musulmans", a-t-il ajouté, en claire allusion au conflit israélo-palestinien.
"Non seulement la rue arabe nous donne une obligation d'agir, mais elle condamnerait toute forme d'immobilisme", a-t-il ajouté.
"Ce début du XXIe siècle ne nous réserve pas beaucoup de bonnes surprises. Nous n'avons à gérer que des crises nouvelles, crise économique, crise financière, crise de la famine, crise de la pauvreté. Partout où nous portons le regard, ce ne sont que complications et difficultés", a-t-il également affirmé.
Mais, "il y a eu une bonne nouvelle: les révolutions arabes", a-t-il soutenu.
"Quand nous avons vu la rue arabe descendre pour réclamer la liberté et la démocratie, nous avons mis du temps à réagir, étonnés que nous étions, stupéfaits que nous étions, devant ce changement considérable", a également affirmé le président français, citant la Tunisie, l'Egypte et la Libye.
Le président français Nicolas Sarkozy a mis en garde contre "des conflits qui durent depuis 60 ans" et qui pourraient "empoisonner" le printemps arabe, faisant ainsi clairement allusion au conflit israélo-palestinien, mardi à l'ONU lors d'un sommet sur la Libye."Nous, les pays européens, nous avons toléré des régimes que nous n'aurions jamais dû tolérer (...) J'ai confiance dans...
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