Il est certes difficile de mettre en œuvre une convention. La Suisse planche sur ce thème. Elle a proposé, conjointement avec la Norvège, la mise en place d’un petit secrétariat qui s’acquittera de cette tâche.
« La Suisse étant un pays pragmatique et pratique, elle s’intéresse toujours aux mises en œuvre. Nous discutons actuellement de la création d’une unité de soutien pour la mise en œuvre de la convention », a déclaré à L’Orient-Le Jour l’ambassadrice de Suisse au Liban, Ruth Flint.
Les discussions pour la mise en place de ce secrétariat se poursuivront après la clôture aujourd’hui de la conférence des pays membres de la convention sur les sous-munitions.
Mme Flint a également souligné que son pays a signé la convention sur les bombes à sous-munitions, mais ne l’a pas encore ratifiée. La ratification devrait avoir lieu au printemps prochain, a-t-elle dit, ajoutant que la Suisse est très engagée en faveur du désarmement. Elle a ratifié nombre de conventions, de traités et de protocoles dans ce cadre, et elle est dépositaire des conventions de Genève sur le droit humanitaire.
L’ambassadrice suisse a aussi noté que son pays a fondé et finance en bonne partie le Centre international sur le déminage humanitaire qui siège à Genève. « Nous œuvrons également de manière générale en matière de soutien aux victimes. Dans ce cadre, une importante ONG, la Fondation suisse de déminage, est financée par le gouvernement de Berne ainsi que par d’autres donateurs », a-t-elle souligné en conclusion.
Pat. K
« La Suisse étant un pays pragmatique et pratique, elle s’intéresse toujours aux mises en œuvre. Nous discutons actuellement de la création d’une unité de soutien pour la mise en œuvre de la convention », a déclaré à L’Orient-Le Jour l’ambassadrice de Suisse au Liban, Ruth Flint.
Les discussions pour la mise en place de ce secrétariat se poursuivront après la clôture aujourd’hui de la conférence des pays membres de la convention sur les sous-munitions.
Mme Flint a également souligné que son pays a signé la convention sur les bombes à sous-munitions, mais ne l’a pas encore ratifiée. La ratification devrait avoir lieu au printemps prochain, a-t-elle dit, ajoutant que la Suisse est très engagée en faveur du désarmement. Elle a ratifié nombre de conventions, de traités et de protocoles dans ce cadre, et elle est dépositaire des conventions de Genève sur le droit humanitaire.
L’ambassadrice suisse a aussi noté que son pays a fondé et finance en bonne partie le Centre international sur le déminage humanitaire qui siège à Genève. « Nous œuvrons également de manière générale en matière de soutien aux victimes. Dans ce cadre, une importante ONG, la Fondation suisse de déminage, est financée par le gouvernement de Berne ainsi que par d’autres donateurs », a-t-elle souligné en conclusion.
Pat. K
Il est certes difficile de mettre en œuvre une convention. La Suisse planche sur ce thème. Elle a proposé, conjointement avec la Norvège, la mise en place d’un petit secrétariat qui s’acquittera de cette tâche. « La Suisse étant un pays pragmatique et pratique, elle s’intéresse toujours aux mises en œuvre. Nous discutons actuellement de la création d’une unité de soutien pour la mise en œuvre de la convention », a déclaré à L’Orient-Le Jour l’ambassadrice de Suisse au Liban, Ruth Flint.Les discussions pour la mise en place de ce secrétariat se poursuivront après la clôture aujourd’hui de la conférence des pays membres de la convention sur les sous-munitions.Mme Flint a également souligné que son pays a signé la convention sur les bombes à sous-munitions, mais ne l’a pas encore ratifiée. La...
