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À La Une

Quelqu’un m’a dit...

Rabih et Nadine au paradis

L’information concernant notre bambino national, le petit prince Rabih Kayrouz, occupe dans Point de vue le même espace que celui concernant Philippe et Mathilde de Belgique, Marc Jacobs, Albert et Charlène de Monaco, ainsi que d’Edouard Vermeulen, le couturier de la maison Natan. Et c’est supercool que le magazine des têtes couronnées s’amuse à annoncer le joli succès de notre couturier dont la collection « 12A10 » automne-hiver 2011 fait son entrée à l’espace créateurs des Galeries Lafayette du boulevard Haussmann !
Un prince aux ciseaux, donc, et une princesse à la caméra. Dans un tout autre genre, l’hebdomadaire Le Point offre toute une page illustrée de deux photos à l’ébouriffante Nadine Labaki, dont le nouvel opus, Et maintenant on va où ?, sort demain mercredi 14 septembre à Paris après des critiques littéralement amoureuses pour cette ode à la tolérance et à la coexistence toute pleine de rires et de larmes, et qui va finir de catapulter la jeune prodige dans la cour des grand(e)s.

Contre le crabe ? Payer en riant...

C’est d’un pas allègre que les poids lourds du Beyrouth politico-socio-économique se sont rendus au dîner de gala du CCCL (Children’s Cancer Center of Lebanon) qui s’est tenu au cœur de la gare ferroviaire à Mar Mikhaël, où une superbe scénographie a été imaginée malgré la complexité de ce lieu chargé d’histoires. Une soirée tout simplement exceptionnelle, qui a drainé plus de 900 personnes venues aider les nombreuses victimes de ce sale crabe et booster une vente aux enchères (menée à un rythme débordant par Christie’s) au cours de laquelle Antoun Sehnaoui a remporté une Jerusalemica datée entre fin XVIIIe-début XIXe (estimée à 25 000 dollars) et Mona Badri Gaith une paire de panneaux de boiserie de l’Égypte ottomane, période Mohammad Ali, gravés d’un « Vive le roi » retentissant (50 000 dollars). Quant au collectionneur syrien Rifaat Cheikh el-Ard, il a décroché les douze volumes des Mille et une nuits (édition 1904) illustrés par le célèbre peintre, calligraphe et miniaturiste algérien, Mohammad Râcim (18 000 dollars), alors que les deux sculptures en bronze d’Anna Cordero (épouse Nabil Gholam) revenaient à Berthe Chaghoury (40 000 dollars) et la peinture signée Paul Wakim à Raymond Audi (45 000 dollars). Last but not least, deux Fiat 500 (adjugées chacune cent mille billets verts) ont été attribuées à Mona Gaith (encore !) et au jeune businessman Abdel-Hadi Mokaddem. Et comme rire fait toujours du bien, le quintette de choc (Raymond Saliba, Chadi Maroun, Gaby Hoayek, Tatiana Merheb et Aline Ahmar), avec humour et glamour, a ensuite fait son Scène sur Scène, s’amusant à parodier la politique et à titiller le pouvoir comme il sait le faire – et c’était d’autant plus drôle qu’il a tiré sur nos politiciens présents, comme Fouad Siniora, Walid Joumblatt, Ghazi Aridi, l’ambassadrice américaine Maura Connelly, Mohammad Jawad Khalifé, etc. Tout le monde en a pris pour son grade. Simplement jouissif  !

Turcs et Grecs s’aiment pour les Bustros

Cet été, sous le banian centenaire de la villa Bustros à Achrafieh, deux mariages ont été célébrés. D’abord le capitalisme s’est uni au communisme via Sharif Maurice Sehnaoui et Hania Karim Mroué en présence du Tout-Beyrouth, et puis, tout récemment, Fadlallah Bustros (Fady Junior) et Jessy Sfeir ont fait furieusement fi des mondanités en décidant de tout simplement s’amuser : ils se sont exclusivement entourés de leurs amis et parents, présents eux aussi à titre d’invités ! La big party organisée dans le jardin de la demeure familiale a donc réuni tous les potes, nombreux et venus de l’étranger : même les Turcs et les Grecs se sont fortement appréciés, s’en souvient-on encore... L’ambiance était si endiablée que les bons habitants du quartier ont gigoté dans leur lit jusqu’à 3 heures du matin. Mais ils étaient avertis : des avis de patience avaient été placardés dans les immeubles alentour par le couple.

Épater Hubert et Aurélio

Pour Nabil et Reine Traboulsi, la gourmandise est une vertu ! Et la gastronomie libanaise n’a rien à envier à la française. Pour épater les papilles d’Hubert et Aurélio, propriétaires d’un restaurant dans le Lubéron et qui propose un tartare dit-on inégalable, les Traboulsi ont envoyé chercher de Beyrouth à Nice trois valises pleines à craquer de casseroles de feuilles de vignes farcies, de kebbés sajiyés, de makaneks et de sojok (concoctés par la délicieuse Denise Asté), de fatayers et petites kebbés préparés par Nicolas Audi et une centaine de becs-figues baptisés ortolans libanais par les invités et savamment emballés pour résister au voyage. Il y avait même du pain markouk, de l’arak, des maamouls arrivés en droite ligne de chez Feuillantine à Achrafieh. Le déjeuner qui a eu lieu, en Provence, dans le jardin bucolique d’un couple d’amis libanais avait aussi pour plat principal notre koullouna lil watan gastronomique : la kebbé nayyé herself, préparée par les blanches mains de Nabil, très friand de piment rouge doux... pour raviver la couleur ! À la fin du repas, Nada Bocti a lu dans le marc de café, annonçant à la princesse Chantal de France un succès immense pour sa prochaine exposition de peinture et mille et une bonnes nouvelles aux autres convives.

ditavonbliss@hotmail.com
Rabih et Nadine au paradisL’information concernant notre bambino national, le petit prince Rabih Kayrouz, occupe dans Point de vue le même espace que celui concernant Philippe et Mathilde de Belgique, Marc Jacobs, Albert et Charlène de Monaco, ainsi que d’Edouard Vermeulen, le couturier de la maison Natan. Et c’est supercool que le magazine des têtes couronnées s’amuse à...

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