« Lorsque l’on entend des surenchères et des accusations, nous nous devons de réfléchir ensemble pour comprendre pourquoi, en 2011, nous n’avons toujours pas entamé les forages pétroliers dans nos eaux territoriales. La raison est qu’il n’existait pas de loi à cet effet, on n’essayait même pas d’aller dans ce sens. Pire encore : il semblait qu’on faisait exprès de retarder ce dossier. Comment expliquer que rien n’a été fait en Conseil des ministres depuis 2007 et que le projet attendait, alors qu’aujourd’hui, le nouveau gouvernement fait tout pour préparer au plus vite une loi », a-t-il dit, accusant ceux qui critiquent d’être la cause de ce retard.
« Lorsque l’un d’eux demande, devant les micros et les caméras, qui a chargé untel de nous défendre nous Libanais et de défendre nos droits, nous lui demandons à notre tour qui l’a autorisé à abdiquer, à renoncer à nos droits, et à fragiliser nos frontières, notre souveraineté et notre richesse? Si seulement il n’avait rien fait : il a empêché les choses d’être faites et nous, pour la première fois, nous poussons vers l’avant », a ajouté Gebran Bassil, rappelant qu’il avait adressé « au moins sept revendications » aux gouvernements précédents, que tout est « inscrit » et que rien n’avait été fait.
Le ministre CPL s’exprimait à l’issue d’un entretien avec le président de la Chambre, Nabih Berry.
commentaires (9)
MR BASSIL nous allons garder en mémoire votre visite pour Bajjar ...que rien ne pourra faire oublier......quant au gaz et pétrole vous croyez qu il y a beaucoup de gens sérieux qui vont venir explorer à la frontière entre hezbollistan et sionistan....allez ils rêvent tous ces politiciens qu il vont pouvoir encore s enrichir....ils sont tous pareils...
BOU AOUN CHARLES
08 h 18, le 30 juillet 2011