L’équipe Vacansoleil du coureur Johnny Hoogerland, renversé dimanche par une voiture suiveuse du Tour de France, a annoncé hier qu’une action juridique contre le chauffeur du véhicule incriminé n’était « pas sa priorité » pour le moment.
Elle a « accepté les excuses » d’ASO, organisatrice du Tour de France et de France Télévisions.
« L’oganisation n’a rien à voir là-dedans. C’est la responsabilité du chauffeur. (Une action juridique) ce n’est pas notre priorité. Pour le moment, on va s’occuper pour que Johnny monte sur le vélo et défende son maillot (à pois de meilleur grimpeur). C’est le plus important pour nous », a déclaré le directeur sportif de la formation néerlandaise Hilaire Van der Schueren.
« ASO m’a contacté hier soir (dimanche) et ils sont venus avec deux personnes de France Télévisions, ils se sont excusés. Nous avons accepté ces excuses. On a surtout parlé pour l’avenir, c’est le plus important », a-t-il poursuivi.
« Je pense qu’il y a trop de motards derrière le peloton. Ce n’est pas facile pour nous (directeurs sportifs) de travailler derrière le peloton. Il y a les motards de l’organisation, les motards des commissaires, des photographes, la gendarmerie... C’est beaucoup », a-t-il estimé.
« Ce n’est pas facile de trouver une solution, mais il faut regarder », a-t-il poursuivi.
Tout en soulignant que « le cyclisme a besoin de la presse et la presse a besoin du cyclisme », Hilaire Van der Schueren a interrogé : « Peut-être que des photographes peuvent travailler pour plusieurs journaux ? »
Il n’a toutefois pas pointé de problème sur le nombre de voitures. « Là où je suis (derrière le peloton), il n’y a que les voitures de directeurs sportifs et de l’organisation. Il n’y a pas de voitures de VIP, elles sont à l’avant », a-t-il souligné.
« La voiture d’hier (dimanche), elle est nécessaire si quelque chose tombe en panne avec la télévision. Mais quand tu prends la décision de dépasser, il faut être convaincu (qu’il y a la place), ne pas prendre de risques », a-t-il ajouté.
« (Les chauffeurs) qui conduisent une voiture d’équipe doivent être licenciés (détenir une licence, NDLR). Pour les autres, je ne crois pas. Il faut avoir des chauffeurs qui sont capables, sûrs quand ils dépassent », a-t-il poursuivi.
Hoogerland a été projeté sur des barbelés par une voiture technique « Euro Media », siglée France Télévisions, chargée d’assurer le suivi technique pour la retransmission télévisée, qui voulait doubler le groupe de coureurs échappés sur la route menant à Saint-Flour. Il a reçu 33 points de suture principalement aux genoux et aux jambes.
©AFP
Elle a « accepté les excuses » d’ASO, organisatrice du Tour de France et de France Télévisions.
« L’oganisation n’a rien à voir là-dedans. C’est la responsabilité du chauffeur. (Une action juridique) ce n’est pas notre priorité. Pour le moment, on va s’occuper pour que Johnny monte sur le vélo et défende son maillot (à pois de meilleur grimpeur). C’est le plus important pour nous », a déclaré le directeur sportif de la formation néerlandaise Hilaire Van der Schueren.
« ASO m’a contacté hier soir (dimanche) et ils sont venus avec deux personnes de France Télévisions, ils se sont excusés. Nous avons accepté ces excuses. On a surtout parlé pour l’avenir, c’est le plus important », a-t-il poursuivi.
« Je pense qu’il y a trop de motards derrière le peloton. Ce n’est pas facile pour nous (directeurs sportifs) de travailler derrière le peloton. Il y a les motards de l’organisation, les motards des commissaires, des photographes, la gendarmerie... C’est beaucoup », a-t-il estimé.
« Ce n’est pas facile de trouver une solution, mais il faut regarder », a-t-il poursuivi.
Tout en soulignant que « le cyclisme a besoin de la presse et la presse a besoin du cyclisme », Hilaire Van der Schueren a interrogé : « Peut-être que des photographes peuvent travailler pour plusieurs journaux ? »
Il n’a toutefois pas pointé de problème sur le nombre de voitures. « Là où je suis (derrière le peloton), il n’y a que les voitures de directeurs sportifs et de l’organisation. Il n’y a pas de voitures de VIP, elles sont à l’avant », a-t-il souligné.
« La voiture d’hier (dimanche), elle est nécessaire si quelque chose tombe en panne avec la télévision. Mais quand tu prends la décision de dépasser, il faut être convaincu (qu’il y a la place), ne pas prendre de risques », a-t-il ajouté.
« (Les chauffeurs) qui conduisent une voiture d’équipe doivent être licenciés (détenir une licence, NDLR). Pour les autres, je ne crois pas. Il faut avoir des chauffeurs qui sont capables, sûrs quand ils dépassent », a-t-il poursuivi.
Hoogerland a été projeté sur des barbelés par une voiture technique « Euro Media », siglée France Télévisions, chargée d’assurer le suivi technique pour la retransmission télévisée, qui voulait doubler le groupe de coureurs échappés sur la route menant à Saint-Flour. Il a reçu 33 points de suture principalement aux genoux et aux jambes.
©AFP
L’équipe Vacansoleil du coureur Johnny Hoogerland, renversé dimanche par une voiture suiveuse du Tour de France, a annoncé hier qu’une action juridique contre le chauffeur du véhicule incriminé n’était « pas sa priorité » pour le moment.Elle a « accepté les excuses » d’ASO, organisatrice du Tour de France et de France Télévisions.« L’oganisation n’a rien à voir...
commentaires (0)
Commenter