L'enquête du procureur du Tribunal spécial pour le Liban (TSL), Daniel Bellemare, sur l'assassinat en 2005 de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri repose sur des éléments de preuve "crédibles", a assuré lundi le bureau du procureur.
"L'enquête est menée dans le respect des normes les plus élevées de la justice internationale, et ses résultats sont fondés uniquement sur les faits et des éléments de preuve crédibles", a soutenu le bureau du procureur dans un communiqué.
Le chef du puissant parti chiite Hezbollah, Hassan Nasrallah, avait dénoncé samedi une enquête "truquée" et des enquêteurs "corrompus et hostiles" au Hezbollah, mis en cause dans l'acte d'accusation, confirmé mardi après avoir été déposé le 17 janvier.
"Les membres du bureau du procureur ont été recrutés sur la base de leur professionnalisme, de leur impartialité et de leur compétence", a affirmé le procureur, cité dans le communiqué.
Le TSL avait remis jeudi un acte d'accusation sous scellé et quatre mandats d'arrêt au procureur général à Beyrouth, Saïd Mirza. Le ministre de l'Intérieur Marwan Charbel avait confirmé ensuite les noms de quatre suspects du Hezbollah, Moustafa Badreddine, Salim Ayyash, Assad Sabra et Hussein Anaissi.
Tous quatre sont membres d'une cellule chargée de planifier et exécuter l'attentat à la camionnette piégée qui a coûté la vie à l'ancien Premier ministre Rafic Hariri et 22 autres personnes à Beyrouth en 2005, selon la presse locale.
M. Nasrallah avait exclu samedi l'arrestation des quatre hommes et rejeté toute décision émanant du TSL.
Le Hezbollah et ses alliés avaient fait tomber en janvier le gouvernement de Saad Hariri, fils de Rafic, après avoir tenté en vain de le pousser à désavouer le tribunal, mis en place par l'ONU.
Le parti chiite et ses alliés sont majoritaires au sein du gouvernement du nouveau Premier ministre libanais, Najib Mikati.
"L'enquête est menée dans le respect des normes les plus élevées de la justice internationale, et ses résultats sont fondés uniquement sur les faits et des éléments de preuve crédibles", a soutenu le bureau du procureur dans un communiqué.
Le chef du puissant parti chiite Hezbollah, Hassan Nasrallah, avait dénoncé samedi une enquête "truquée" et des enquêteurs "corrompus et hostiles" au Hezbollah, mis en cause dans l'acte d'accusation, confirmé mardi après avoir été déposé le 17 janvier.
"Les membres du bureau du procureur ont été recrutés sur la base de leur professionnalisme, de leur impartialité et de leur compétence", a affirmé le procureur, cité dans le communiqué.
Le TSL avait remis jeudi un acte d'accusation sous scellé et quatre mandats d'arrêt au procureur général à Beyrouth, Saïd Mirza. Le ministre de l'Intérieur Marwan Charbel avait confirmé ensuite les noms de quatre suspects du Hezbollah, Moustafa Badreddine, Salim Ayyash, Assad Sabra et Hussein Anaissi.
Tous quatre sont membres d'une cellule chargée de planifier et exécuter l'attentat à la camionnette piégée qui a coûté la vie à l'ancien Premier ministre Rafic Hariri et 22 autres personnes à Beyrouth en 2005, selon la presse locale.
M. Nasrallah avait exclu samedi l'arrestation des quatre hommes et rejeté toute décision émanant du TSL.
Le Hezbollah et ses alliés avaient fait tomber en janvier le gouvernement de Saad Hariri, fils de Rafic, après avoir tenté en vain de le pousser à désavouer le tribunal, mis en place par l'ONU.
Le parti chiite et ses alliés sont majoritaires au sein du gouvernement du nouveau Premier ministre libanais, Najib Mikati.
L'enquête du procureur du Tribunal spécial pour le Liban (TSL), Daniel Bellemare, sur l'assassinat en 2005 de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri repose sur des éléments de preuve "crédibles", a assuré lundi le bureau du procureur."L'enquête est menée dans le respect des normes les plus élevées de la justice internationale, et ses résultats sont fondés uniquement sur les...
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