Imed Trabelsi, neveu de l'épouse du président tunisien déchu Ben Ali, a vu samedi sa condamnation pour consommation de drogue alourdie de 2 à 4 ans par la cour d'appel de Tunis.
La Cour a condamné Imed Trabelsi à 4 ans de prison et 3.000 dinars (1.500 euros) d'amende, a indiqué l'agence officielle TAP.
Sa condamnation en première instance, début mai, avait été la première d'un membre de l'ex-famille présidentielle.
Le 20 juin, l'ex-président Zine El Abidine Ben Ali, qui s'est réfugié en Arabie saoudite le 14 janvier chassé par une révolte populaire, a été condamné à 35 ans de prison, avec son épouse Leïla Trabelsi, pour détournement de fonds publics.
Imed Trabelsi avait été arrêté le 14 janvier. Il est détenu avec d'autres membres de sa famille à la base militaire de l'Aouina, près de Tunis.
C'est sans doute après l'ex-président Ben Ali lui-même et son épouse Leïla l'un des hommes les plus détestés de Tunisie depuis le 14 janvier.
Imed Trabelsi avait été poursuivi sans succès en France pour "vols en bande organisée" pour s'être approprié en 2006 le prestigieux yacht de Bruno Roger, l'un des dirigeants de la Banque Lazard.
En mai 2007, la justice française avait émis un mandat d'arrêt à son encontre, mais la justice tunisienne avait refusé de l'extrader.
Sa première apparition au tribunal le 20 avril, cheveux gominés et costume-cravate, entourés de policiers avait déclenché une vague de haine dans le public.
Plusieurs actions en justice attendent encore M. Ben Ali. Le tribunal qui l'a condamné lundi à 35 ans de prison avait repoussé au 30 juin, à la demande de la défense, sa décision sur une seconde affaire. Dans ce dossier, l'ex-président est accusé de détention d'armes et de stupéfiants, retrouvés dans le palais de Carthage, ce qu'il nie vigoureusement.
M. Ben Ali et certains membres de son entourage, doivent aussi être poursuivis devant des juridictions militaires, notamment pour des homicides commis pendant la répression de la révolte populaire.
La Cour a condamné Imed Trabelsi à 4 ans de prison et 3.000 dinars (1.500 euros) d'amende, a indiqué l'agence officielle TAP.
Sa condamnation en première instance, début mai, avait été la première d'un membre de l'ex-famille présidentielle.
Le 20 juin, l'ex-président Zine El Abidine Ben Ali, qui s'est réfugié en Arabie saoudite le 14 janvier chassé par une révolte populaire, a été condamné à 35 ans de prison, avec son épouse Leïla Trabelsi, pour détournement de fonds publics.
Imed Trabelsi avait été arrêté le 14 janvier. Il est détenu avec d'autres membres de sa famille à la base militaire de l'Aouina, près de Tunis.
C'est sans doute après l'ex-président Ben Ali lui-même et son épouse Leïla l'un des hommes les plus détestés de Tunisie depuis le 14 janvier.
Imed Trabelsi avait été poursuivi sans succès en France pour "vols en bande organisée" pour s'être approprié en 2006 le prestigieux yacht de Bruno Roger, l'un des dirigeants de la Banque Lazard.
En mai 2007, la justice française avait émis un mandat d'arrêt à son encontre, mais la justice tunisienne avait refusé de l'extrader.
Sa première apparition au tribunal le 20 avril, cheveux gominés et costume-cravate, entourés de policiers avait déclenché une vague de haine dans le public.
Plusieurs actions en justice attendent encore M. Ben Ali. Le tribunal qui l'a condamné lundi à 35 ans de prison avait repoussé au 30 juin, à la demande de la défense, sa décision sur une seconde affaire. Dans ce dossier, l'ex-président est accusé de détention d'armes et de stupéfiants, retrouvés dans le palais de Carthage, ce qu'il nie vigoureusement.
M. Ben Ali et certains membres de son entourage, doivent aussi être poursuivis devant des juridictions militaires, notamment pour des homicides commis pendant la répression de la révolte populaire.
Imed Trabelsi, neveu de l'épouse du président tunisien déchu Ben Ali, a vu samedi sa condamnation pour consommation de drogue alourdie de 2 à 4 ans par la cour d'appel de Tunis.La Cour a condamné Imed Trabelsi à 4 ans de prison et 3.000 dinars (1.500 euros) d'amende, a indiqué l'agence officielle TAP.Sa condamnation en première instance, début mai, avait été la première d'un membre de...
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