Rechercher
Rechercher

Sport

Aravane Rezaï porte plainte contre son père pour menaces de mort

La joueuse de tennis franco-iranienne Aravane Rezaï a porté plainte récemment contre son père pour « harcèlement moral, violences volontaires et menaces de mort », a-t-on appris hier de source policière, confirmant une information du journal Le Parisien.
La plainte a été déposée par la jeune femme de 24 ans la semaine dernière au commissariat de Boulogne-Billancourt, en région parisienne.
Selon Le Parisien, Aravane Rezaï reproche également à son père Arsalan des faits « d'escroquerie sur plusieurs dizaines de milliers d'euros ». La source policière interrogée par l'AFP a indiqué n'avoir trouvé « aucune trace » sur ce point dans la plainte.
Le parquet de Nanterre doit maintenant décider si la plainte doit être transmise au parquet de Saint-Étienne (centre-Est), où vit la famille, ou la traiter sur place, selon la même source.
Arsalan Rezaï a provoqué ces dernières années plusieurs incidents lors de tournois de tennis auxquels participait sa fille, qui lui ont valu des amendes ou des exclusions de tournois. Il était jusqu'à récemment encore l'entraîneur de la joueuse, classée 52e mondiale au dernier classement de la Fédération de tennis féminin, la WTA.
Dernier incident en date, la WTA avait annoncé en janvier qu'un membre de la famille d'Aravane Rezaï était interdit de match pour une durée indéterminée, en raison d'« un sérieux problème de sécurité ». Le Parisien avait précisé à l'époque qu'il s'agissait du père, qui avait eu une violente altercation avec sa fille alors qu'elle se trouvait en compagnie de son petit ami, au matin de son premier tour à l'Open d'Australie.
La joueuse de tennis franco-iranienne Aravane Rezaï a porté plainte récemment contre son père pour « harcèlement moral, violences volontaires et menaces de mort », a-t-on appris hier de source policière, confirmant une information du journal Le Parisien.La plainte a été déposée par la jeune femme de 24 ans la semaine dernière au commissariat de Boulogne-Billancourt, en...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut