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L'Université antonine, hôte du Conseil international des études canadiennes à Ottawa

Sur invitation du ministère canadien des Affaires étrangères et du Commerce international, l'Université antonine, représentée par son vice-recteur aux relations internationales, le père Fady Fadel, a participé au Forum des centres et des associations des études canadiennes à Ottawa ainsi qu'à l'assemblée générale du Conseil international des études canadiennes (CIEC) qui a eu lieu à Ottawa pour célébrer le trentième anniversaire du CIEC.
Dans son allocution d'ouverture, le directeur des programmes académiques internationaux au ministère des Affaires étrangères, Jean Labrie, a souligné « l'engagement du Canada en faveur d'un rayonnement culturel dans la recherche d'un partenariat avec les pays hôtes et les institutions accueillant les centres de recherche et d'études canadiennes.
Il a aussi mis l'accent sur « les rapports dynamiques qui lient l'université Antonine aux universités canadiennes, estimant que ces liens « constituent un atout pour la fondation d'un Centre d'études canadiennes au Liban ».
De son côté, le père Fadel a salué l'initiative de l'ambassade du Canada au Liban et du ministère canadien des Affaires internationales, rendant hommage au soutien qu'ils fournissent à la mise en place d'un Centre d'études canadiennes au Liban.
Par ailleurs, l'ambassadrice du Canada au Liban, Mme Hilary Childs-Adams, a offert à l'Université antonine des ouvrages multidisciplinaires d'auteurs canadiens ou portant sur le Canada. Pour Mme Childs-Adams, cette donation « symbolise l'estime que porte le Canada à l'Université antonine en raison du partenariat particulièrement dynamique, fructueux et pluridisciplinaire avec les institutions canadiennes ».
Après avoir remercié Mme Childs-Adams pour son attention et sa générosité, le père Fadel a examiné avec l'ambassadeur les étapes de mise en place du Centre d'études canadiennes dans le cadre de l'Université antonine, ainsi que l'environnement scientifique et culturel qui permet aux universitaires et aux chercheurs de bénéficier des axes pluridisciplinaires offerts dans le centre.

Le prix France-Liban à Camille Aboussouan pour l'ensemble de son œuvre

La cérémonie de remise du prix France-Liban pour le meilleur ouvrage publié en français par un Libanais, qui s'est tenue tout récemment à Paris, a vu Camille Aboussouan, ancien ambassadeur du Liban auprès de l'Unesco, récompensé pour l'ensemble de son œuvre.Une mention spéciale a été décernée à Nada Raphaël pour son livre d'art, Trait d'union islam-
christianisme, et à Robert Saliba pour Beyrouth,
architectures aux sources de la modernité,1920-1940.
Ce prix, mal connu du public libanais, est parrainé depuis deux ans par la Bank Med qui offre la somme de 5 000 dollars au lauréat. C'est la seule récompense parmi les huits attribuées par l'Adelf à être flanquée d'un prix en espèce et Camille Aboussouan a tenu à offrir ces 5 000 dollars à la caisse de l'Adelf pour la remercier, comme la Bank Med, de l'attention qu'elle porte au rayonnement de la culture francophone au Liban.
Signalons que l'Adelf existe depuis 1926 et regroupe 1 200 écrivains francophones du monde entier, dont Léopold Sedar Senghor et Aimé Césaire.Le prix France-Liban existe depuis 1980 et il a dejà honoré, entre autres, Charles Hélou, Adel Ismaïl, Andrée Chedid, Georges Corm, Ghassan Salamé et Amin Maalouf. Il est actuellement présidé par le professeur Jacques Chévrier et regroupe l'ambassadeur Paul Blanc, Vénus Khoury-Ghata, Kénizé Mourad, Gérard Khoury, Abdallah Naaman qui en est l'administrateur-sélectionneur, Bahjat Rizk et Bassam Tourbah.

Séminaire de Chawki Azouri sur l'amour
La séparation amoureuse

« Un clou en chasse un autre », « Un de perdu, dix de retrouvés ». Alors qu'habituellement les proverbes et les dictons nous soutiennent en transmettant une sagesse populaire à travers les âges et les générations, dans la séparation amoureuse non seulement ils n'ont aucun effet, mais ils sont aussi nuisibles. Parce qu'ils poussent les amoureux séparés à remplir le vide terrible de la perte de l'objet d'amour par n'importe quoi ou n'importe qui, ces dictons amènent l'être humain à se trahir lui-même, avec tous les dégâts que cela entraîne.Dans le cadre de l'enseignement ouvert de la SLP, prochain séminaire de Chawki Azouri sur l'amour, le 9 juin 2011 à 19h30 aux Créneaux (entrée libre).

Spectacle
Danse populaire arménienne au théâtre Monnot

La commission régionale de l'association de Hamazkayin pour la culture et l'enseignement au Liban organise un spectacle de danse populaire qui sera présenté par la troupe Knar, sous la direction de M. Felix Haroutyounian, à partir d'aujourd'hui jeudi 9 et jusqu'au dimanche 12, au théâtre Monnot, puis le lundi 13 juin au Palais des Congrès à Dbayé.
Pour plus d'informations, appeler au 03-243248 ou au 03- 247751

Conférence
« L'Arménie au fil des siècles » au musée de l'AUB

À l'initiative de la Société des amis du musée de l'AUB, Mme Arda Arsenian Ekmekji, doyenne de la faculté des arts et des sciences de l'Université Haïgazian, donnera une conférence illustrée sur le thème : « L'Arménie au fil des siècles », le mercredi 22 juin à 17h30 au musée de l'AUB. Parking disponible en face de l'hôpital Saint-Jude.

Vide-greniers de l'association des Filles de la charité

L'association des Filles de la charité organise un vide-greniers, après-demain, samedi 11 juin, de 10h à 18h, au jardin de la Maison provinciale des Filles de la charité, dans le quartier de Sassine à Achrafieh.
Pour toute information ou réservation d'un emplacement, appeler au 03-402985 ou au 03-516398.