Un lâcher de 3 000 ballons pour Asma
Contrairement aux prévisions de tous les génies de la météo, il a fait un temps de rêve ce samedi 14 mai pour les 40 ans de Asma Andraos. Le roof du Sporting était suspendu, comme un jardin de Babylone, entre terre et mer, entre white et blue : lumière bleue magique, lampions blancs, orgie de bougies, bar central comme un îlot des Caraïbes où l'alcool coulait littéralement et autour duquel se pressaient 250 invités tout habillés de blanc, venus de partout, de Beyrouth, de Genève, d'Arabie, du Koweït, du Qatar, d'Égypte, dans un ahurissant mélange de politiques (socialistes, ultracapitalistes, communistes), de journalistes, d'artistes, de fashionistas, de banquiers, de fauchés, de déjantés, de straights, de gays, de jeunes, de vieux... Tous en nage jusqu'à 4 du mat' grâce aux platines d'une Câline Chidiac transcendée et d'une El-DJette au diapason, après le warm-up entre 18h et 20h de l'exquis Sami Chahine et entre deux bouchées très miam-miam signées Nicolas Cattan... Quant à l'Andraos, aussi légère, libre et heureuse que les 3 000 ballons blancs lâchés dans le ciel de Beyrouth, elle irradiait.
Sélim et Fady savent où ils vont...
Cette année encore, grâce au directeur de l'office du tourisme à Paris, Serge Akl, et à la présidente de la fondation LibanCinéma, Aimée Boulos, les couleurs du cèdre flottent au-dessus du pavillon libanais à Cannes, où les destins de nos ministres sortants de la Culture et du Tourisme se sont à nouveau croisés. Ne voulant pour rien au monde louper ce red carpet ultime, Sélim Wardy et Fady Abboud étaient au rendez-vous du 64e festival international du film. Laissant leur morgue et leurs petites rivalités FL vs CPL à Beyrouth et exhibant de très larges sourires, ils se sont promenés presque main dans la main sur la Croisette (dans l'espoir de croiser actrices ou starlettes ?) avant de se pencher sur l'épineuse question Et maintenant on va où ?, le film pour lequel Nadine Labaki, propulsée au firmament des stars, a monté les marches du palais, en tenue Azzi&Osta (deux jeunes créateurs libanais qui montent) et parée de bijoux Aziz et Walid Mouzannar (évidemment). Entre-temps, le ministre du Tourisme avait reçu à déjeuner à la Plage Blanche Éric Garendeau, ancien conseiller technique des questions audiovisuelles auprès de l'Élysée, aujourd'hui à la tête du Conseil national du cinéma, Jérôme Seydoux, président de Pathé, Éric Leroy, président des Archives nationales, Marwa Akkari et un nombre d'amis et de réalisateurs qui ont pu admirer, côté terrasse, les pièces phares de la collection du créateur français « Qui est Paul ? » et ont testé, côté plage, au bord de l'eau, les sofas Outbed, ludiques, glamour et sexy de Marine Peyre, dont le nom résonne de plus en plus fort dans le monde de la déco design... Et ce n'est pas tout. Hier soir, après la projection du film de Nadine, tout le monde devait se rendre à l'after-party organisée par le Doha Film Institute et la productrice Anne-Dominique Toussaint, au Chérie Chéri, un resto-lounge-dancefloor überfashion ! Notre délicieuse collègue Colette Khalaf, qui très vraisemblablement y trinquait et y dansait (peut-être avec le président De Niro...), n'a pas eu le temps de nous donner le moindre détail !
L'Apsad, envers et contre tout (et tous) !
Durant deux soirées consécutives, Massimo Lambertini (au piano) et son épouse, la soprano Francesca Micarelli, ont ébloui l'assemblée réunie chez Yvonne Cochrane, à l'occasion du cinquantième anniversaire de l'Association pour la préservation des sites et anciennes demeures, fondée par lady Yvonne, Assem Salam et Camille Aboussouan. Plus de 200 supporters de l'Apsad étaient présents, parmi lesquels les ministres de la Culture et de la Justice, Sélim Wardy et Ibrahim Najjar, Lama et Tammam Salam, Nadia Michel Aoun et ses deux filles Claudine et Chantal, Asma Freiha, Talal Makdessi, Bob Wehbé, Laure Doumit, Nayla et Semaan Bassil, Sana et Jihad Ibrahim, Maritta et Rabih Frem, le Dr Chahine Assi (accompagné comme il se doit d'une ravissante jeune créature), Paula et Nicolas Sehnaoui, ainsi que les ambassadeurs d'Allemagne, d'Italie et du Mexique... Les deux concerts, organisés à l'initiative du comité dirigé par Raya Daouk, ont permis de mobiliser des fonds substantiels et d'associer de nouveaux fans à la préservation du patrimoine. Un ultime élan pour sauver ce qu'il reste à sauver.
Jamais sans sa Mercédès...
Un rien frimeur, monsieur l'ambassadeur ?! Eh bien non ! Définitivement non. Les frimeurs et les m'as-tu-vu se recrutent chez les inconnus ; les autres, on les appelle des vedettes - même s'il est vrai que la frontière est (super)floue... Précédé d'un 4x4 de la police avec gyrophares et sirènes retentissantes pour lui ouvrir la route, Juan Carlos Gafo Acevedo, pilotant sa très allemande Mercédès décapotable, a fait une entrée choc chez Gérard Bejjani qui recevait à déjeuner, dans sa maison de Barbara, tous les professeurs de l'Université pour Tous, ainsi que Joe Achkar, Andrée Daouk, Monica et Aurélien Le Chevallier, accompagnés de leur mère, belle-mère et grand-mère en visite au Liban. De Halate, Élie Gharzouzi a fait un petit saut avant de filer vers un autre engagement...
ditavonbliss@hotmail.com
Contrairement aux prévisions de tous les génies de la météo, il a fait un temps de rêve ce samedi 14 mai pour les 40 ans de Asma Andraos. Le roof du Sporting était suspendu, comme un jardin de Babylone, entre terre et mer, entre white et blue : lumière bleue magique, lampions blancs, orgie de bougies, bar central comme un îlot des Caraïbes où l'alcool coulait littéralement et autour duquel se pressaient 250 invités tout habillés de blanc, venus de partout, de Beyrouth, de Genève, d'Arabie, du Koweït, du Qatar, d'Égypte, dans un ahurissant mélange de politiques (socialistes, ultracapitalistes, communistes), de journalistes, d'artistes, de fashionistas, de banquiers, de fauchés, de déjantés, de straights, de gays, de jeunes, de vieux... Tous en nage jusqu'à 4 du mat' grâce aux platines d'une Câline Chidiac transcendée et d'une El-DJette au diapason, après le warm-up entre 18h et 20h de l'exquis Sami Chahine et entre deux bouchées très miam-miam signées Nicolas Cattan... Quant à l'Andraos, aussi légère, libre et heureuse que les 3 000 ballons blancs lâchés dans le ciel de Beyrouth, elle irradiait.
Sélim et Fady savent où ils vont...
Cette année encore, grâce au directeur de l'office du tourisme à Paris, Serge Akl, et à la présidente de la fondation LibanCinéma, Aimée Boulos, les couleurs du cèdre flottent au-dessus du pavillon libanais à Cannes, où les destins de nos ministres sortants de la Culture et du Tourisme se sont à nouveau croisés. Ne voulant pour rien au monde louper ce red carpet ultime, Sélim Wardy et Fady Abboud étaient au rendez-vous du 64e festival international du film. Laissant leur morgue et leurs petites rivalités FL vs CPL à Beyrouth et exhibant de très larges sourires, ils se sont promenés presque main dans la main sur la Croisette (dans l'espoir de croiser actrices ou starlettes ?) avant de se pencher sur l'épineuse question Et maintenant on va où ?, le film pour lequel Nadine Labaki, propulsée au firmament des stars, a monté les marches du palais, en tenue Azzi&Osta (deux jeunes créateurs libanais qui montent) et parée de bijoux Aziz et Walid Mouzannar (évidemment). Entre-temps, le ministre du Tourisme avait reçu à déjeuner à la Plage Blanche Éric Garendeau, ancien conseiller technique des questions audiovisuelles auprès de l'Élysée, aujourd'hui à la tête du Conseil national du cinéma, Jérôme Seydoux, président de Pathé, Éric Leroy, président des Archives nationales, Marwa Akkari et un nombre d'amis et de réalisateurs qui ont pu admirer, côté terrasse, les pièces phares de la collection du créateur français « Qui est Paul ? » et ont testé, côté plage, au bord de l'eau, les sofas Outbed, ludiques, glamour et sexy de Marine Peyre, dont le nom résonne de plus en plus fort dans le monde de la déco design... Et ce n'est pas tout. Hier soir, après la projection du film de Nadine, tout le monde devait se rendre à l'after-party organisée par le Doha Film Institute et la productrice Anne-Dominique Toussaint, au Chérie Chéri, un resto-lounge-dancefloor überfashion ! Notre délicieuse collègue Colette Khalaf, qui très vraisemblablement y trinquait et y dansait (peut-être avec le président De Niro...), n'a pas eu le temps de nous donner le moindre détail !
L'Apsad, envers et contre tout (et tous) !
Durant deux soirées consécutives, Massimo Lambertini (au piano) et son épouse, la soprano Francesca Micarelli, ont ébloui l'assemblée réunie chez Yvonne Cochrane, à l'occasion du cinquantième anniversaire de l'Association pour la préservation des sites et anciennes demeures, fondée par lady Yvonne, Assem Salam et Camille Aboussouan. Plus de 200 supporters de l'Apsad étaient présents, parmi lesquels les ministres de la Culture et de la Justice, Sélim Wardy et Ibrahim Najjar, Lama et Tammam Salam, Nadia Michel Aoun et ses deux filles Claudine et Chantal, Asma Freiha, Talal Makdessi, Bob Wehbé, Laure Doumit, Nayla et Semaan Bassil, Sana et Jihad Ibrahim, Maritta et Rabih Frem, le Dr Chahine Assi (accompagné comme il se doit d'une ravissante jeune créature), Paula et Nicolas Sehnaoui, ainsi que les ambassadeurs d'Allemagne, d'Italie et du Mexique... Les deux concerts, organisés à l'initiative du comité dirigé par Raya Daouk, ont permis de mobiliser des fonds substantiels et d'associer de nouveaux fans à la préservation du patrimoine. Un ultime élan pour sauver ce qu'il reste à sauver.
Jamais sans sa Mercédès...
Un rien frimeur, monsieur l'ambassadeur ?! Eh bien non ! Définitivement non. Les frimeurs et les m'as-tu-vu se recrutent chez les inconnus ; les autres, on les appelle des vedettes - même s'il est vrai que la frontière est (super)floue... Précédé d'un 4x4 de la police avec gyrophares et sirènes retentissantes pour lui ouvrir la route, Juan Carlos Gafo Acevedo, pilotant sa très allemande Mercédès décapotable, a fait une entrée choc chez Gérard Bejjani qui recevait à déjeuner, dans sa maison de Barbara, tous les professeurs de l'Université pour Tous, ainsi que Joe Achkar, Andrée Daouk, Monica et Aurélien Le Chevallier, accompagnés de leur mère, belle-mère et grand-mère en visite au Liban. De Halate, Élie Gharzouzi a fait un petit saut avant de filer vers un autre engagement...
ditavonbliss@hotmail.com
Un lâcher de 3 000 ballons pour AsmaContrairement aux prévisions de tous les génies de la météo, il a fait un temps de rêve ce samedi 14 mai pour les 40 ans de Asma Andraos. Le roof du Sporting était suspendu, comme un jardin de Babylone, entre terre et mer, entre white et blue : lumière bleue magique, lampions blancs, orgie de bougies, bar central comme un îlot des Caraïbes où...
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