La Croix rouge internationale a exprimé dimanche son inquiétude au sujet des milliers de réfugiés étrangers bloqués dans le port libyen assiégé de Misrata.
Le CICR a annoncé que ces réfugiés vivaient sous des bâches et des abris de fortune fournis par une délégation du CICR qui a pu pénétrer pour vingt quatre heures dans la ville par le port pour évaluer la situation médicale et les besoins d'assistance, a précisé la porte-parole du CICR, Nicole Engelbrecht.
"Notre principale préoccupation actuellement, ce sont les réfugiés étrangers vivant à proximité du port", a-t-elle déclaré à l'AFP.
Le Croissant rouge libyen évalue entre 6.000 et 7.000 personnes ces réfugiés originaires d'Egypte, du Soudan, du Tchad et d'autres pays, a-t-elle ajouté. Le CICR n'est pas actuellement en mesure de vérifier ce décompte.
Les cinq membres du CICR, arrivés samedi sur un bateau transportant une aide d'urgence, se sont rendus à l'hôpital principal de la ville ainsi qu'à l'hôpital du Croissant rouge avant de repartir pour Benghazi dimanche.
Mme Engelbrecht a refusé de donner un bilan des victimes à l'issue de trois semaines de combat car le CICR n'était pas en mesure de vérifier les chiffres.
Selon un porte-parole de l'opposition, huit rebelles ont été tués et 22 blessés samedi par les tirs des forces pro-Kadhafi.
Un médecin de Misrata a fourni le même bilan de morts pour samedi, précisant qu'il incluait des civils et ajoutant que le nombre de blessés s'élevait à 25.
Mme Engelbrecht a indiqué que son équipe souhaitait retourner à Misrata. "Nous souhaitons avoir le soutien des deux parties. Cette fois-ci, on n'avait prévu qu'une visite d'un jour", a-t-elle souligné.
Le CICR fournit principalement son assistance depuis plusieurs semaines aux régions libyennes contrôlées par l'opposition.
La visite à Misrata faisait partie d'une opération visant à étendre l'action du CICR à l'ouest de la Libye après qu'une délégation du CICR a eu des entretiens à Tripoli avec les autorités libyennes.
Le bateau de la Croix rouge était équipé pour soigner 300 blessés.
Le CICR a annoncé que ces réfugiés vivaient sous des bâches et des abris de fortune fournis par une délégation du CICR qui a pu pénétrer pour vingt quatre heures dans la ville par le port pour évaluer la situation médicale et les besoins d'assistance, a précisé la porte-parole du CICR, Nicole Engelbrecht.
"Notre principale préoccupation actuellement, ce sont les réfugiés étrangers vivant à proximité du port", a-t-elle déclaré à l'AFP.
Le Croissant rouge libyen évalue entre 6.000 et 7.000 personnes ces réfugiés originaires d'Egypte, du Soudan, du Tchad et d'autres pays, a-t-elle ajouté. Le CICR n'est pas actuellement en mesure de vérifier ce décompte.
Les cinq membres du CICR, arrivés samedi sur un bateau transportant une aide d'urgence, se sont rendus à l'hôpital principal de la ville ainsi qu'à l'hôpital du Croissant rouge avant de repartir pour Benghazi dimanche.
Mme Engelbrecht a refusé de donner un bilan des victimes à l'issue de trois semaines de combat car le CICR n'était pas en mesure de vérifier les chiffres.
Selon un porte-parole de l'opposition, huit rebelles ont été tués et 22 blessés samedi par les tirs des forces pro-Kadhafi.
Un médecin de Misrata a fourni le même bilan de morts pour samedi, précisant qu'il incluait des civils et ajoutant que le nombre de blessés s'élevait à 25.
Mme Engelbrecht a indiqué que son équipe souhaitait retourner à Misrata. "Nous souhaitons avoir le soutien des deux parties. Cette fois-ci, on n'avait prévu qu'une visite d'un jour", a-t-elle souligné.
Le CICR fournit principalement son assistance depuis plusieurs semaines aux régions libyennes contrôlées par l'opposition.
La visite à Misrata faisait partie d'une opération visant à étendre l'action du CICR à l'ouest de la Libye après qu'une délégation du CICR a eu des entretiens à Tripoli avec les autorités libyennes.
Le bateau de la Croix rouge était équipé pour soigner 300 blessés.
La Croix rouge internationale a exprimé dimanche son inquiétude au sujet des milliers de réfugiés étrangers bloqués dans le port libyen assiégé de Misrata.Le CICR a annoncé que ces réfugiés vivaient sous des bâches et des abris de fortune fournis par une délégation du CICR qui a pu pénétrer pour vingt quatre heures dans la ville par le port pour évaluer la situation médicale et...
Les plus commentés
Un milliard d'euros pour aider le Liban ou pour... « acheter son silence » ?
Le mouvement estudiantin pour la Palestine peut-il changer la donne à Washington ?
Le plan arabe en quatre étapes pour l’après-guerre à Gaza