Un homme arrêté en lien avec les manifestations anti-régime ayant secoué Bahreïn est mort dimanche en prison, a annoncé le ministère bahreïni de l'Intérieur.
"Un prisonnier qui souffrait de drépanocytose est mort dimanche matin au centre de détention", a indiqué le ministère dans un communiqué, en précisant que l'homme, âgé de 39 ans, s'appelait Hassan Jasem Makki.
Le ministère a indiqué que le médecin de la prison lui avait "donné les médicaments requis dans le cadre d'une drépanocytose", mais M. Makki a perdu connaissance et a "été immédiatement transporté à l'hôpital où sa mort a été prononcée".
M. Makki avait été "arrêté le 28 mars et accusé d'avoir encouragé les violences et le vandalisme ayant récemment eu lieu dans le royaume", selon le ministère.
De son côté, le mouvement Al-Wefaq, principal groupe de l'opposition chiite, a affirmé que M. Makki était "mort dans des circonstances mystérieuses après cinq jours de détention".
Son décès "révèle des pratiques dangereuses" et "une violation de toutes les normes, valeurs humaines et conventions internationales sur le traitement des prisonniers", a-t-il estimé.
Mercredi, le chef d'Al-Wefaq, Ali Salmane, avait fait état de quelque 300 arrestations par les autorités depuis que les forces de sécurité ont démantelé le 16 mars un sit-in de protestation sur une place de Manama. Le mouvement de contestation avait débuté dans le royaume le 14 février.
Selon le ministre bahreïni de l'Intérieur, les protestations ont fait 24 morts, dont quatre policiers.
"Un prisonnier qui souffrait de drépanocytose est mort dimanche matin au centre de détention", a indiqué le ministère dans un communiqué, en précisant que l'homme, âgé de 39 ans, s'appelait Hassan Jasem Makki.
Le ministère a indiqué que le médecin de la prison lui avait "donné les médicaments requis dans le cadre d'une drépanocytose", mais M. Makki a perdu connaissance et a "été immédiatement transporté à l'hôpital où sa mort a été prononcée".
M. Makki avait été "arrêté le 28 mars et accusé d'avoir encouragé les violences et le vandalisme ayant récemment eu lieu dans le royaume", selon le ministère.
De son côté, le mouvement Al-Wefaq, principal groupe de l'opposition chiite, a affirmé que M. Makki était "mort dans des circonstances mystérieuses après cinq jours de détention".
Son décès "révèle des pratiques dangereuses" et "une violation de toutes les normes, valeurs humaines et conventions internationales sur le traitement des prisonniers", a-t-il estimé.
Mercredi, le chef d'Al-Wefaq, Ali Salmane, avait fait état de quelque 300 arrestations par les autorités depuis que les forces de sécurité ont démantelé le 16 mars un sit-in de protestation sur une place de Manama. Le mouvement de contestation avait débuté dans le royaume le 14 février.
Selon le ministre bahreïni de l'Intérieur, les protestations ont fait 24 morts, dont quatre policiers.
Un homme arrêté en lien avec les manifestations anti-régime ayant secoué Bahreïn est mort dimanche en prison, a annoncé le ministère bahreïni de l'Intérieur."Un prisonnier qui souffrait de drépanocytose est mort dimanche matin au centre de détention", a indiqué le ministère dans un communiqué, en précisant que l'homme, âgé de 39 ans, s'appelait Hassan Jasem Makki.Le ministère a...
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