L'opposition libyenne a catégoriquement refusé jeudi une offre de médiation du président vénézuélien Hugo Chavez pour trouver une solution pacifique à la crise en Libye, a déclaré à l'AFP un porte-parole du Conseil National établi par les insurgés.
"Nous avons une position très claire: c'est trop tard, beaucoup de sang a coulé", a déclaré ce porte-parole, Moustapha Gheriani, chargé de la presse au sein du Conseil national représentant les villes aux mains de l'insurrection, qui siège à Benghazi, deuxième ville du pays, située à 1.000 km à l'est de Tripoli.
"Jamais nous négocierons avec personne sur le sang de notre de notre peuple", a-t-il ajouté.
Le chef de l'Etat vénézuélien, considéré comme le leader de la gauche radicale en Amérique latine, avait proposé lundi de créer une mission internationale de paix, formée par plusieurs pays amis, susceptible de faire office de médiateur entre le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et les insurgés.
"Et si au lieu d'envoyer des Marines et des avions nous envoyions une mission de bonne volonté pour aider nos frères à cesser de s'entretuer?", avait-il déclaré.
Caracas avait annoncé que le gouvernement libyen et la Ligue arabe étaient intéressés par l'offre de médiation internationale proposée par Hugo Chavez.
Une source à la Ligue arabe a indiqué à l'AFP que cette proposition serait scrupuleusement étudiée. "Il n'y a ni rejet ni accord pour l'instant", a dit cette source sous couvert de l'anonymat.
Selon le ministre vénézuélien de l'Information, Andres Izarra, Hugo Chavez a discuté de cette proposition avec le numéro un libyen Mouammar Kadhafi.
"Le seul moment où nous pourrions négocier avec Chavez serait au cas où Kadhafi partait au Venezuela. Nous exigerions alors qu'il renvoie Kadhafi en Libye pour qu'il soit jugé par notre justice", a ajouté à Benghazi le porte-parole de l'opposition.
"Nous avons une position très claire: c'est trop tard, beaucoup de sang a coulé", a déclaré ce porte-parole, Moustapha Gheriani, chargé de la presse au sein du Conseil national représentant les villes aux mains de l'insurrection, qui siège à Benghazi, deuxième ville du pays, située à 1.000 km à l'est de Tripoli.
"Jamais nous négocierons avec personne sur le sang de notre de notre peuple", a-t-il ajouté.
Le chef de l'Etat vénézuélien, considéré comme le leader de la gauche radicale en Amérique latine, avait proposé lundi de créer une mission internationale de paix, formée par plusieurs pays amis, susceptible de faire office de médiateur entre le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi et les insurgés.
"Et si au lieu d'envoyer des Marines et des avions nous envoyions une mission de bonne volonté pour aider nos frères à cesser de s'entretuer?", avait-il déclaré.
Caracas avait annoncé que le gouvernement libyen et la Ligue arabe étaient intéressés par l'offre de médiation internationale proposée par Hugo Chavez.
Une source à la Ligue arabe a indiqué à l'AFP que cette proposition serait scrupuleusement étudiée. "Il n'y a ni rejet ni accord pour l'instant", a dit cette source sous couvert de l'anonymat.
Selon le ministre vénézuélien de l'Information, Andres Izarra, Hugo Chavez a discuté de cette proposition avec le numéro un libyen Mouammar Kadhafi.
"Le seul moment où nous pourrions négocier avec Chavez serait au cas où Kadhafi partait au Venezuela. Nous exigerions alors qu'il renvoie Kadhafi en Libye pour qu'il soit jugé par notre justice", a ajouté à Benghazi le porte-parole de l'opposition.
L'opposition libyenne a catégoriquement refusé jeudi une offre de médiation du président vénézuélien Hugo Chavez pour trouver une solution pacifique à la crise en Libye, a déclaré à l'AFP un porte-parole du Conseil National établi par les insurgés."Nous avons une position très claire: c'est trop tard, beaucoup de sang a coulé", a déclaré ce porte-parole, Moustapha Gheriani,...