La frappe aérienne de l'armée libyenne sur le site pétrolier de Brega (est de la Libye), qui a fait au moins 12 morts selon les habitants, "était destinée à effrayer" et non à tuer, a assuré jeudi le fils cadet du colonel Kadhafi, Saif al-Islam, à la télévision Sky News.
"D'abord, les bombes étaient seulement destinées à les effrayer et à les faire partir, pas à attaquer le port", a-t-il déclaré dans l'interview filmée par la télévision britannique dans une voiture. "Pas à tuer notre peuple", a-t-il ajouté.
Saif al-Islam a affirmé que le site avait été pris par "une milice, qui se filme, avec trois chars et des mitrailleuses lourdes".
"Je parle du port et de la raffinerie là-bas. Personne ne peut autoriser la milice à contrôler Brega. Ce serait comme d'autoriser quelqu'un à prendre le contrôle du port de Rotterdam en Hollande", a-t-il souligné.
Le fils cadet de Mouammar Kadhafi insiste sur le fait que Brega n'est "pas une ville. C'est un port pétrolier", pour expliquer que les frappes ne visaient pas des civils.
Selon lui, Brega est "le noeud gazier et pétrolier de la Libye." "Nous en dépendons pour manger, pour vivre. Sans Brega, six millions de personnes n'auraient pas d'avenir, parce que c'est de là que nous exportons notre pétrole", a-t-il assuré.
Brega est un site pétrolier, mais aussi un des verrous contrôlant l'accès à Benghazi, fief de l'opposition dans l'Est.
Selon des habitants de Brega, au moins cinq personnes ont été emmenées par les forces pro-Kadhafi au cours de cette offensive appuyée par l'aviation et l'artillerie lourde, qui a fait au moins 12 morts.
"D'abord, les bombes étaient seulement destinées à les effrayer et à les faire partir, pas à attaquer le port", a-t-il déclaré dans l'interview filmée par la télévision britannique dans une voiture. "Pas à tuer notre peuple", a-t-il ajouté.
Saif al-Islam a affirmé que le site avait été pris par "une milice, qui se filme, avec trois chars et des mitrailleuses lourdes".
"Je parle du port et de la raffinerie là-bas. Personne ne peut autoriser la milice à contrôler Brega. Ce serait comme d'autoriser quelqu'un à prendre le contrôle du port de Rotterdam en Hollande", a-t-il souligné.
Le fils cadet de Mouammar Kadhafi insiste sur le fait que Brega n'est "pas une ville. C'est un port pétrolier", pour expliquer que les frappes ne visaient pas des civils.
Selon lui, Brega est "le noeud gazier et pétrolier de la Libye." "Nous en dépendons pour manger, pour vivre. Sans Brega, six millions de personnes n'auraient pas d'avenir, parce que c'est de là que nous exportons notre pétrole", a-t-il assuré.
Brega est un site pétrolier, mais aussi un des verrous contrôlant l'accès à Benghazi, fief de l'opposition dans l'Est.
Selon des habitants de Brega, au moins cinq personnes ont été emmenées par les forces pro-Kadhafi au cours de cette offensive appuyée par l'aviation et l'artillerie lourde, qui a fait au moins 12 morts.
La frappe aérienne de l'armée libyenne sur le site pétrolier de Brega (est de la Libye), qui a fait au moins 12 morts selon les habitants, "était destinée à effrayer" et non à tuer, a assuré jeudi le fils cadet du colonel Kadhafi, Saif al-Islam, à la télévision Sky News."D'abord, les bombes étaient seulement destinées à les effrayer et à les faire partir, pas à attaquer le port",...
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