La Turquie continuera ses efforts pour faciliter le dialogue entre l'Iran et les grandes puissances en vue de régler leur conflit sur le programme nucléaire iranien controversé, a déclaré samedi le président turc Abdullah Gül dans une interview à l'agence officielle IRNA.
"La Turquie souhaite qu'une solution à la question nucléaire iranienne soit atteinte par la négociation et le dialogue (...) et poursuivra ses efforts pour faciliter" ce dialogue, a indiqué M. Gül qui entame des entretiens officiels lundi en Iran.
Ankara a pris la défense de Téhéran dans ses délicates négociations nucléaires avec les grandes puissances, se posant en intermédiaire pour organiser des contacts ou élaborer des compromis.
La Turquie a ainsi cosigné en mai 2009, avec le Brésil, une proposition iranienne d'échange de combustible nucléaire avec les grandes puissances dans l'espoir de trouver une issue diplomatique à la crise, en vain.
Elle a également hébergé en janvier à Istanbul le deuxième round de nouvelles négociations entre les deux parties, qui ont abouti à une impasse.
La question nucléaire sera évoquée lors de la visite de M. Gül, largement consacrée au renforcement des relations économiques bilatérales alors que les Occidentaux envisagent un nouveau renforcement de leurs sanctions déjà sévères contre Téhéran pour l'obliger à abandonner son programme d'enrichissement d'uranium qui inquiète la communauté internationale.
Ankara a voté contre le renforcement des sanctions contre Téhéran décidé en juin par le Conseil de sécurité de l'ONU, et refuse d'appliquer les sanctions additionnelles prises ensuite par les Etats-Unis et l'Union européenne.
L'Iran et la Turquie, qui comptent ensemble une population de 150 millions d'habitants, ont annoncé leur intention de tripler d'ici 2015 leurs échanges commerciaux à 30 milliards de dollars.
La visite de M. Gül doit permettre la signature d'un "accord de préférence tarifaire" destiné à stimuler ces échanges, déjà passés de 1 à 10 milliards de dollars ces dix dernières années.
"Les deux pays veulent développer leurs relations dans tous les domaines", a souligné M. Gül.
"La Turquie souhaite qu'une solution à la question nucléaire iranienne soit atteinte par la négociation et le dialogue (...) et poursuivra ses efforts pour faciliter" ce dialogue, a indiqué M. Gül qui entame des entretiens officiels lundi en Iran.
Ankara a pris la défense de Téhéran dans ses délicates négociations nucléaires avec les grandes puissances, se posant en intermédiaire pour organiser des contacts ou élaborer des compromis.
La Turquie a ainsi cosigné en mai 2009, avec le Brésil, une proposition iranienne d'échange de combustible nucléaire avec les grandes puissances dans l'espoir de trouver une issue diplomatique à la crise, en vain.
Elle a également hébergé en janvier à Istanbul le deuxième round de nouvelles négociations entre les deux parties, qui ont abouti à une impasse.
La question nucléaire sera évoquée lors de la visite de M. Gül, largement consacrée au renforcement des relations économiques bilatérales alors que les Occidentaux envisagent un nouveau renforcement de leurs sanctions déjà sévères contre Téhéran pour l'obliger à abandonner son programme d'enrichissement d'uranium qui inquiète la communauté internationale.
Ankara a voté contre le renforcement des sanctions contre Téhéran décidé en juin par le Conseil de sécurité de l'ONU, et refuse d'appliquer les sanctions additionnelles prises ensuite par les Etats-Unis et l'Union européenne.
L'Iran et la Turquie, qui comptent ensemble une population de 150 millions d'habitants, ont annoncé leur intention de tripler d'ici 2015 leurs échanges commerciaux à 30 milliards de dollars.
La visite de M. Gül doit permettre la signature d'un "accord de préférence tarifaire" destiné à stimuler ces échanges, déjà passés de 1 à 10 milliards de dollars ces dix dernières années.
"Les deux pays veulent développer leurs relations dans tous les domaines", a souligné M. Gül.
La Turquie continuera ses efforts pour faciliter le dialogue entre l'Iran et les grandes puissances en vue de régler leur conflit sur le programme nucléaire iranien controversé, a déclaré samedi le président turc Abdullah Gül dans une interview à l'agence officielle IRNA."La Turquie souhaite qu'une solution à la question nucléaire iranienne soit atteinte par la négociation et le...
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