Le gouvernement saoudien a mis en garde lundi les forces politiques au Liban contre les risques de sédition et de troubles après la chute du gouvernement, sur fond de polémique autour de l'action du Tribunal spécial pour le Liban (TSL).
Dans un communiqué publié au terme de sa réunion hebdomadaire, le Conseil des ministres saoudien a appelé "les frères au Liban à travailler ensemble pour préserver l'unité du Liban, sa sécurité et sa stabilité".
Il a exhorté les forces politiques libanaises à mettre leur pays "à l'abri des risques de sédition et des troubles politiques", ajoutant compter "sur leur sagesse pour sortir le Liban de la difficile crise politique" qu'il traverse actuellement.
Cette crise a pour origine l'acte d'accusation du TSL, chargé de l'enquête sur le meurtre en 2005 de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri.
Le Hezbollah, qui s'attend à être mis en cause dans ce meurtre, a fait pression en vain sur le Premier ministre Saad Hariri, fils de Rafic, pour qu'il désavoue cette institution.
La remise de cet acte d'accusation au juge de la mise en état devait intervenir lundi lors d'une audience à huis-clos au siège du tribunal, près de La Haye.
La Syrie, qui soutient le Hezbollah, et l'Arabie Saoudite, qui appuie Saad Hariri, ont mené en vain des efforts depuis l'été dernier en vue d'apaiser les tensions dans ce pays divisé depuis l'assassinat de Rafic Hariri.
Un sommet syro-turco-qatari s'est tenu lundi à Damas pour évoquer la crise politique au Liban.
Dans un communiqué publié au terme de sa réunion hebdomadaire, le Conseil des ministres saoudien a appelé "les frères au Liban à travailler ensemble pour préserver l'unité du Liban, sa sécurité et sa stabilité".
Il a exhorté les forces politiques libanaises à mettre leur pays "à l'abri des risques de sédition et des troubles politiques", ajoutant compter "sur leur sagesse pour sortir le Liban de la difficile crise politique" qu'il traverse actuellement.
Cette crise a pour origine l'acte d'accusation du TSL, chargé de l'enquête sur le meurtre en 2005 de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri.
Le Hezbollah, qui s'attend à être mis en cause dans ce meurtre, a fait pression en vain sur le Premier ministre Saad Hariri, fils de Rafic, pour qu'il désavoue cette institution.
La remise de cet acte d'accusation au juge de la mise en état devait intervenir lundi lors d'une audience à huis-clos au siège du tribunal, près de La Haye.
La Syrie, qui soutient le Hezbollah, et l'Arabie Saoudite, qui appuie Saad Hariri, ont mené en vain des efforts depuis l'été dernier en vue d'apaiser les tensions dans ce pays divisé depuis l'assassinat de Rafic Hariri.
Un sommet syro-turco-qatari s'est tenu lundi à Damas pour évoquer la crise politique au Liban.
Le gouvernement saoudien a mis en garde lundi les forces politiques au Liban contre les risques de sédition et de troubles après la chute du gouvernement, sur fond de polémique autour de l'action du Tribunal spécial pour le Liban (TSL).Dans un communiqué publié au terme de sa réunion hebdomadaire, le Conseil des ministres saoudien a appelé "les frères au Liban à travailler ensemble pour...
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