Ils ont souligné, selon Sana, "l'importance d'être conscients des dangers que suscitent les interventions étrangères (dans la région) et que les décisions et les solutions soient prises par les habitants de la région".
Le gouvernement libanais de Saad Hariri est tombé mercredi après la démission des ministres du camp du puissant mouvement chiite armé Hezbollah. Depuis, les forces politiques rivales sont engagées dans une épreuve de force en vue de la nomination d'un nouveau Premier ministre.
D'après les experts, c'est le groupe parlementaire du leader druze Walid Joumblatt qui pourrait faire pencher la balance en faveur ou non de Saad Hariri, dont il était l'un des plus proches alliés avant de s'en démarquer.
Cette nouvelle crise porte sur le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), chargé d'identifier et juger les responsables de l'assassinat de l'ex-Premier ministre Rafic Hariri en 2005, une instance que le Hezbollah conteste en assurant qu'elle cherche à mettre en cause son mouvement.
La Syrie a gardé jusqu'à présent le silence sur cette nouvelle crise au Liban.
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