Une attaque à la grenade contre la maison d'un membre d'une faction d'el-Qaëda a secoué vendredi soir le camp de réfugiés palestiniens d'Aïn Héloué, dans le sud du Liban, mais sans faire de blessé, a annoncé samedi un responsable de la sécurité.
"Personne n'a été blessé dans cette attaque à la grenade, qui a visé juste avant minuit la maison d'un membre de la Jund al-Sham, de la famille Sahmarani", a déclaré à l'AFP un porte-parole de la police.
Jund al-Sham, "l'armée de la plus grande Syrie", est un groupe radical sunnite basé à Aïn Héloué, le plus grand des douze camps palestiniens au Liban et considéré comme un refuge pour des extrémistes et des personnes recherchées.
Par convention, l'armée libanaise n'intervient pas dans les camps de réfugiés, laissant la sécurité interne sous la responsabilité des Palestiniens.
Le 28 octobre, un garçon de 13 ans avait été tué et quatre autres personnes blessées dans l'explosion d'une grenade dans le camp de Nahr al-Bared, dans le nord du pays.
La majorité des réfugiés palestiniens, estimés entre 300 et 400.000 au Liban, vivent dans ces camps surpeuplés et lourdement armés, considérés par les organisations internationales comme un terrain de recrutement pour les extrémistes islamistes.
"Personne n'a été blessé dans cette attaque à la grenade, qui a visé juste avant minuit la maison d'un membre de la Jund al-Sham, de la famille Sahmarani", a déclaré à l'AFP un porte-parole de la police.
Jund al-Sham, "l'armée de la plus grande Syrie", est un groupe radical sunnite basé à Aïn Héloué, le plus grand des douze camps palestiniens au Liban et considéré comme un refuge pour des extrémistes et des personnes recherchées.
Par convention, l'armée libanaise n'intervient pas dans les camps de réfugiés, laissant la sécurité interne sous la responsabilité des Palestiniens.
Le 28 octobre, un garçon de 13 ans avait été tué et quatre autres personnes blessées dans l'explosion d'une grenade dans le camp de Nahr al-Bared, dans le nord du pays.
La majorité des réfugiés palestiniens, estimés entre 300 et 400.000 au Liban, vivent dans ces camps surpeuplés et lourdement armés, considérés par les organisations internationales comme un terrain de recrutement pour les extrémistes islamistes.
Une attaque à la grenade contre la maison d'un membre d'une faction d'el-Qaëda a secoué vendredi soir le camp de réfugiés palestiniens d'Aïn Héloué, dans le sud du Liban, mais sans faire de blessé, a annoncé samedi un responsable de la sécurité."Personne n'a été blessé dans cette attaque...
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