Les groupes politiques irakiens entament dimanche leurs tractations sur la répartition des portefeuilles ministériels alors que le Premier ministre sortant Nouri al-Maliki ne devrait être désigné officiellement que jeudi pour former le nouveau gouvernement.
"Les discussions entre les groupes politiques ne commencent qu'aujourd'hui en raison de la fête d'al-Adha", a affirmé à l'AFP Kamal al-Saadi, député chiite de Bagdad proche M. Maliki.
Selon une source au sein de l'Alliance nationale, coalition chiite à laquelle appartient M. Maliki, cette coalition, qui compte 159 députés sur les 325 sièges du Parlement, a nommé un groupe chargé de plancher sur le gouvernement.
Ce groupe de sept personnes représentant toutes ses factions doit d'une part discuter en son sein de la répartition des ministères, et d'autre part négocier avec les autres groupes politiques.
Par ailleurs, la liste concurrente Iraqiya, conduite par l'ancien Premier ministre laïque Iyad Allawi, a également choisi ses trois représentants pour ces tractations, a affirmé son négociateur en chef, cheikh Jamal al-Batikh.
La répartition des postes est assez complexe. Chaque groupe bénéficie d'un nombre de points en fonction de son nombre de sièges et chaque ministère a également une valeur en points. C'est donc une arithmétique ardue à laquelle doivent se livrer les négociateurs.
Le coup d'envoi de ces négociations a lieu alors que le Premier ministre putatif n'a pas encore été officiellement désigné. "Le président Jalal Talabani a décidé de ne nommer que jeudi M. Maliki, soit un jour avant le délai légal, afin de lui laisser le maximum de temps pour former le gouvernement car la tâche s'annonce rude", a affirmé une source parlementaire.
Selon la Constitution, le président de la République a 15 jours après son élection pour nommer le Premier ministre et ce dernier a ensuite un mois pour former le gouvernement. En cas d'échec, le chef de l'Etat doit choisir une autre personnalité.
"Les discussions entre les groupes politiques ne commencent qu'aujourd'hui en raison de la fête d'al-Adha", a affirmé à l'AFP Kamal al-Saadi, député chiite de Bagdad proche M. Maliki.
Selon une source au sein de l'Alliance nationale, coalition chiite à laquelle appartient M. Maliki, cette coalition, qui compte 159 députés sur les 325 sièges du Parlement, a nommé un groupe chargé de plancher sur le gouvernement.
Ce groupe de sept personnes représentant toutes ses factions doit d'une part discuter en son sein de la répartition des ministères, et d'autre part négocier avec les autres groupes politiques.
Par ailleurs, la liste concurrente Iraqiya, conduite par l'ancien Premier ministre laïque Iyad Allawi, a également choisi ses trois représentants pour ces tractations, a affirmé son négociateur en chef, cheikh Jamal al-Batikh.
La répartition des postes est assez complexe. Chaque groupe bénéficie d'un nombre de points en fonction de son nombre de sièges et chaque ministère a également une valeur en points. C'est donc une arithmétique ardue à laquelle doivent se livrer les négociateurs.
Le coup d'envoi de ces négociations a lieu alors que le Premier ministre putatif n'a pas encore été officiellement désigné. "Le président Jalal Talabani a décidé de ne nommer que jeudi M. Maliki, soit un jour avant le délai légal, afin de lui laisser le maximum de temps pour former le gouvernement car la tâche s'annonce rude", a affirmé une source parlementaire.
Selon la Constitution, le président de la République a 15 jours après son élection pour nommer le Premier ministre et ce dernier a ensuite un mois pour former le gouvernement. En cas d'échec, le chef de l'Etat doit choisir une autre personnalité.
Les groupes politiques irakiens entament dimanche leurs tractations sur la répartition des portefeuilles ministériels alors que le Premier ministre sortant Nouri al-Maliki ne devrait être désigné officiellement que jeudi pour former le nouveau gouvernement."Les discussions entre les groupes politiques ne commencent qu'aujourd'hui en raison de la fête...