L'Iran a appelé mercredi des pays tiers à "ne pas empêcher" la coopération entre Téhéran et Moscou, alors que les relations entre les deux pays traversent une crise sans précédent.
"Nous ne pouvons pas permettre à des pays éloignés d'empêcher notre coopération et notre partenariat stratégique", a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, dans un entretien accordé à la chaîne de télévision russe Russia Today.
"Nous estimons que le peuple russe est un grand peuple, mais ces derniers temps, nous voyons que la Russie est guidée par l'influence négative de l'Occident, lorsqu'elle prend ses décisions", a-t-il indiqué.
"Nous avons des relations de longue date avec la Russie et nous souhaitons coopérer à long terme avec ce pays", a souligné M. Mehmanparast.
Et d'ajouter: "Nos pays ont un grand potentiel pour une coopération politique, économique et technologique".
Les présidents russe et iranien, Dmitri Medvedev et Mahmoud Ahmadinejad, vont se rencontrer jeudi à Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan, en marge d'un sommet des pays de la mer Caspienne, pour tenter de surmonter une crise sans précédent dans leurs relations, provoquée par le soutien de Moscou des sanctions de l'ONU contre Téhéran.
La Russie a annulé en septembre la vente de S-300 à l'Iran, invoquant les sanctions prévues par la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU, qui a condamné le 9 juin, pour la sixième fois en quatre ans, le programme nucléaire iranien controversé.
Cette décision a provoqué une polémique entre les deux pays, Téhéran ayant accusé Moscou d'avoir "vendu" l'Iran à ses ennemis.
"Nous ne pouvons pas permettre à des pays éloignés d'empêcher notre coopération et notre partenariat stratégique", a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, dans un entretien accordé à la chaîne de télévision russe Russia Today.
"Nous estimons que le peuple russe est un grand peuple, mais ces derniers temps, nous voyons que la Russie est guidée par l'influence négative de l'Occident, lorsqu'elle prend ses décisions", a-t-il indiqué.
"Nous avons des relations de longue date avec la Russie et nous souhaitons coopérer à long terme avec ce pays", a souligné M. Mehmanparast.
Et d'ajouter: "Nos pays ont un grand potentiel pour une coopération politique, économique et technologique".
Les présidents russe et iranien, Dmitri Medvedev et Mahmoud Ahmadinejad, vont se rencontrer jeudi à Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan, en marge d'un sommet des pays de la mer Caspienne, pour tenter de surmonter une crise sans précédent dans leurs relations, provoquée par le soutien de Moscou des sanctions de l'ONU contre Téhéran.
La Russie a annulé en septembre la vente de S-300 à l'Iran, invoquant les sanctions prévues par la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU, qui a condamné le 9 juin, pour la sixième fois en quatre ans, le programme nucléaire iranien controversé.
Cette décision a provoqué une polémique entre les deux pays, Téhéran ayant accusé Moscou d'avoir "vendu" l'Iran à ses ennemis.
L'Iran a appelé mercredi des pays tiers à "ne pas empêcher" la coopération entre Téhéran et Moscou, alors que les relations entre les deux pays traversent une crise sans précédent."Nous ne pouvons pas permettre à des pays éloignés d'empêcher notre coopération et notre partenariat stratégique", a...
