Les forces iraniennes ont intercepté six faux avions ennemis suite à leur intrusion dans l'espace aérien iranien dans le cadre d'exercices de défense aériennes cette semaine, a déclaré le porte-parole de ces exercices, cité mercredi par les médias.
"Le général Hamid Arjangi a dit (...) que les forces iraniennes avaient identifié l'intrusion simulée de six avions inconnus dans l'espace aérien iranien", mardi dans le cadre d'exercices militaires, a rapporté le site de la télévision iranienne en langue anglaise Press TV.
Le site accuse en outre des médias occidentaux d'avoir déformé les propos de Hamid Arjangi, cité plus tôt par l'agence Fars, propos qui n'établissaient pas clairement qu'il s'agissait d'avions participant à l'exercice.
"Hier (mardi), nos forces ont fait état de l'intrusion de six avions inconnus dans notre espace aérien, provoquant la sortie immédiate de nos avions de chasse pour une opération d'interception", avait indiqué Hamid Arjangi, cité par Fars.
"Nos systèmes d'artillerie ont été mis en alerte, les cibles ont été identifiées et poursuivies et les sommations nécessaires ont été faites", avait-il ajouté.
L'Iran a lancé mardi de nouvelles manoeuvres militaires pour tester son système de défense aérien pendant cinq jours, avait indiqué mardi le commandant Arjangi.
Les manoeuvres visent à tester les capacités défensives de missiles à courte, moyenne et longue portée ainsi qu'une nouvelle version du système de défense aérien, avait-il indiqué.
Le site de Press TV a indiqué mardi que les exercices ont eu également lieu près de "sites nucléaires et vitaux, et comprennent des tests de missiles anti-aériens de longue portée".
Les Etats-Unis et Israël ont régulièrement affirmé, au cours des dernières années, ne pas exclure une frappe militaire contre l'Iran, accusé par les Occidentaux, malgré ses dénégations, de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil.
Les dirigeants iraniens, en réponse, ont multiplié les manoeuvres militaires, les annonces de renforcement de la panoplie d'armements du pays, notamment en matière de missiles, et les déclarations affirmant que toute agression contre l'Iran entraînerait un conflit généralisé dans la région et était vouée à l'échec.
Mardi, le secrétaire à la Défense américain Robert Gates a estimé qu'une action militaire contre l'Iran ne parviendrait pas à empêcher Téhéran de poursuivre son programme nucléaire controversé.
Un responsable militaire iranien a indiqué la semaine dernière que son pays allait tester "très bientôt" des missiles S-300 fabriqués sur son territoire, défiant ainsi la Russie.
Le 22 septembre, le président russe Dmitri Medvedev avait interdit la livraison de missiles sol-air S-300 à l'Iran --un contrat critiqué par les Occidentaux et Israël--, en application d'une résolution de l'ONU sanctionnant Téhéran pour son programme nucléaire controversé.
"Le général Hamid Arjangi a dit (...) que les forces iraniennes avaient identifié l'intrusion simulée de six avions inconnus dans l'espace aérien iranien", mardi dans le cadre d'exercices militaires, a rapporté le site de la télévision iranienne en langue anglaise Press TV.
Le site accuse en outre des médias occidentaux d'avoir déformé les propos de Hamid Arjangi, cité plus tôt par l'agence Fars, propos qui n'établissaient pas clairement qu'il s'agissait d'avions participant à l'exercice.
"Hier (mardi), nos forces ont fait état de l'intrusion de six avions inconnus dans notre espace aérien, provoquant la sortie immédiate de nos avions de chasse pour une opération d'interception", avait indiqué Hamid Arjangi, cité par Fars.
"Nos systèmes d'artillerie ont été mis en alerte, les cibles ont été identifiées et poursuivies et les sommations nécessaires ont été faites", avait-il ajouté.
L'Iran a lancé mardi de nouvelles manoeuvres militaires pour tester son système de défense aérien pendant cinq jours, avait indiqué mardi le commandant Arjangi.
Les manoeuvres visent à tester les capacités défensives de missiles à courte, moyenne et longue portée ainsi qu'une nouvelle version du système de défense aérien, avait-il indiqué.
Le site de Press TV a indiqué mardi que les exercices ont eu également lieu près de "sites nucléaires et vitaux, et comprennent des tests de missiles anti-aériens de longue portée".
Les Etats-Unis et Israël ont régulièrement affirmé, au cours des dernières années, ne pas exclure une frappe militaire contre l'Iran, accusé par les Occidentaux, malgré ses dénégations, de chercher à se doter de l'arme atomique sous couvert de son programme nucléaire civil.
Les dirigeants iraniens, en réponse, ont multiplié les manoeuvres militaires, les annonces de renforcement de la panoplie d'armements du pays, notamment en matière de missiles, et les déclarations affirmant que toute agression contre l'Iran entraînerait un conflit généralisé dans la région et était vouée à l'échec.
Mardi, le secrétaire à la Défense américain Robert Gates a estimé qu'une action militaire contre l'Iran ne parviendrait pas à empêcher Téhéran de poursuivre son programme nucléaire controversé.
Un responsable militaire iranien a indiqué la semaine dernière que son pays allait tester "très bientôt" des missiles S-300 fabriqués sur son territoire, défiant ainsi la Russie.
Le 22 septembre, le président russe Dmitri Medvedev avait interdit la livraison de missiles sol-air S-300 à l'Iran --un contrat critiqué par les Occidentaux et Israël--, en application d'une résolution de l'ONU sanctionnant Téhéran pour son programme nucléaire controversé.
Les forces iraniennes ont intercepté six faux avions ennemis suite à leur intrusion dans l'espace aérien iranien dans le cadre d'exercices de défense aériennes cette semaine, a déclaré le porte-parole de ces exercices, cité mercredi par les médias."Le général Hamid Arjangi a dit (...) que les forces iraniennes...
