Le Conseil de l'Europe a salué samedi la libération de l'icône de la démocratie birmane Aung San Suu Kyi, en affirmant que l'opposante doit désormais être autorisée à "se lancer dans la vie politique".
"Ceci est un jour de joie et pour elle et sa famille, ainsi que pour tout le peuple birman. Leur foi en la liberté d’expression, la démocratie et les droits de l’homme en sera renforcée", a affirmé dans un communiqué Thorbjorn Jagland, le secrétaire général de l'organisation paneuropéenne.
"J’attends maintenant qu’Aung San Suu Kyi puisse se lancer dans la vie politique et contribue à un nouvel avenir pour son pays", a ajouté M. Jagland.
Aung San Suu Kyi, symbole de la lutte pour la démocratie en Birmanie, a été libérée par la junte samedi après plus de sept ans en résidence surveillée, demandant à des milliers de partisans en liesse de travailler "à l'unisson" pour l'avenir du pays.
La fille du général Aung San, héros de l'indépendance birmane, a passé plus de 15 des 21 dernières années privée de liberté. Elle n'avait pas circulé librement depuis mai 2003.
L'Occident avait violemment critiqué ces derniers mois le refus des militaires de laisser sortir l'opposante avant les élections de dimanche dernier, les premières depuis 20 ans, à l'issue desquelles le parti pro-junte revendique quelque 80% des sièges, et ce avant même les résultats officiels.
"Ceci est un jour de joie et pour elle et sa famille, ainsi que pour tout le peuple birman. Leur foi en la liberté d’expression, la démocratie et les droits de l’homme en sera renforcée", a affirmé dans un communiqué Thorbjorn Jagland, le secrétaire général de l'organisation paneuropéenne.
"J’attends maintenant qu’Aung San Suu Kyi puisse se lancer dans la vie politique et contribue à un nouvel avenir pour son pays", a ajouté M. Jagland.
Aung San Suu Kyi, symbole de la lutte pour la démocratie en Birmanie, a été libérée par la junte samedi après plus de sept ans en résidence surveillée, demandant à des milliers de partisans en liesse de travailler "à l'unisson" pour l'avenir du pays.
La fille du général Aung San, héros de l'indépendance birmane, a passé plus de 15 des 21 dernières années privée de liberté. Elle n'avait pas circulé librement depuis mai 2003.
L'Occident avait violemment critiqué ces derniers mois le refus des militaires de laisser sortir l'opposante avant les élections de dimanche dernier, les premières depuis 20 ans, à l'issue desquelles le parti pro-junte revendique quelque 80% des sièges, et ce avant même les résultats officiels.
Le Conseil de l'Europe a salué samedi la libération de l'icône de la démocratie birmane Aung San Suu Kyi, en affirmant que l'opposante doit désormais être autorisée à "se lancer dans la vie politique"."Ceci est un jour de joie et pour elle et sa famille, ainsi que pour tout le peuple birman. Leur foi en la liberté...
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