Deux Irakiens, soupçonnés d'avoir participé au meurtre de six militaires britanniques en 2003 dans le sud du pays, ont été acquittés dimanche par le tribunal anti-terroriste de Bagdad, a constaté un journaliste de l'AFP.
"Après avoir entendu huit témoins qui ne vous ont pas identifiés formellement, la Cour centrale criminelle a décidé de lever toutes les charges pesant contre vous et de vous libérer", a affirmé le président du tribunal Baligh Hamdi.
Le 24 juin 2003, dans le village chiite d'al-Majar Al-Kabir, près d'Amara, à 300 kilomètres au sud-est de Bagdad, six membres de la police militaire britannique, chargée d'entraîner la police locale irakienne, avaient été tués lors de l'attaque d'un commissariat par une foule en fureur.
Il s'agissait des premiers soldats britanniques tués par des tirs ennemis depuis la fin annoncée des principaux combats en Irak le 1er mai.
Les deux accusés avaient été arrêtés par les forces américaines à leur domicile dans le village: Moussa Ismaïl Haïdar, un vendeur de butane de 39 ans, avait été interpellé le 5 novembre 2008 et Hamza Hutayyer, un agriculteur de 33 ans, le 28 février 2009.
"Ils ont été arrêtés sur la base d'informations secrètes mais les deux prévenus ont rejeté les charges et nié toute relation avec l'incident. Rien dans ce qu'ont dit les témoins ne confirme leur implication dans la mort des soldats et je demande l'annulation des charges portées contre eux", a déclaré le procureur Mohammad Samer.
A l'époque, des villageois avaient indiqué à l'AFP que les six soldats avaient été tués lors d'une véritable bataille rangée avec les habitants d'Al-Majar Al-Kabir, qui étaient excédés par les perquisitions menées avec des chiens par l'armée britannique.
Ils avaient assuré que les combats avaient fait quatre tués et dix-sept blessés parmi les habitants.
Dans la religion musulmane, un fidèle touché par le museau d'un chien doit faire à nouveau ses ablutions pour se purifier de cette souillure et pouvoir prier. La croyance populaire des musulmans veut que les chiens chassent les anges de la maison.
"Après avoir entendu huit témoins qui ne vous ont pas identifiés formellement, la Cour centrale criminelle a décidé de lever toutes les charges pesant contre vous et de vous libérer", a affirmé le président du tribunal Baligh Hamdi.
Le 24 juin 2003, dans le village chiite d'al-Majar Al-Kabir, près d'Amara, à 300 kilomètres au sud-est de Bagdad, six membres de la police militaire britannique, chargée d'entraîner la police locale irakienne, avaient été tués lors de l'attaque d'un commissariat par une foule en fureur.
Il s'agissait des premiers soldats britanniques tués par des tirs ennemis depuis la fin annoncée des principaux combats en Irak le 1er mai.
Les deux accusés avaient été arrêtés par les forces américaines à leur domicile dans le village: Moussa Ismaïl Haïdar, un vendeur de butane de 39 ans, avait été interpellé le 5 novembre 2008 et Hamza Hutayyer, un agriculteur de 33 ans, le 28 février 2009.
"Ils ont été arrêtés sur la base d'informations secrètes mais les deux prévenus ont rejeté les charges et nié toute relation avec l'incident. Rien dans ce qu'ont dit les témoins ne confirme leur implication dans la mort des soldats et je demande l'annulation des charges portées contre eux", a déclaré le procureur Mohammad Samer.
A l'époque, des villageois avaient indiqué à l'AFP que les six soldats avaient été tués lors d'une véritable bataille rangée avec les habitants d'Al-Majar Al-Kabir, qui étaient excédés par les perquisitions menées avec des chiens par l'armée britannique.
Ils avaient assuré que les combats avaient fait quatre tués et dix-sept blessés parmi les habitants.
Dans la religion musulmane, un fidèle touché par le museau d'un chien doit faire à nouveau ses ablutions pour se purifier de cette souillure et pouvoir prier. La croyance populaire des musulmans veut que les chiens chassent les anges de la maison.
Deux Irakiens, soupçonnés d'avoir participé au meurtre de six militaires britanniques en 2003 dans le sud du pays, ont été acquittés dimanche par le tribunal anti-terroriste de Bagdad, a constaté un journaliste de l'AFP."Après avoir entendu huit témoins qui ne vous ont pas identifiés formellement, la Cour centrale criminelle a...
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