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Liban

Ali Hassan Khalil applaudit

Le conseiller politique du président de la Chambre, Ali Hassan Khalil, a été l'une des premières personnalités politiques à réagir à l'autocritique explosive à laquelle s'est livré le Premier ministre. Cette prise de position, a affirmé le numéro deux du mouvement Amal, « peut servir de base à une réévaluation de toute la phase politique passée, et pose à nouveau, dans les bons termes, la question du caractère privilégié des relations qui doivent exister entre le Liban et la Syrie ».
Un écho de la volonté saoudienne d'apaisement, caractéristique de la déclaration de M. Hariri, s'est retrouvé hier dans l'édition du Watan saoudien. Ce dernier a affirmé en effet « qu'il n'y a pas de rupture » entre Saad Hariri et Hassan Nasrallah, et que le président Nabih Berry allait entreprendre incessamment une démarche de rapprochement entre Koraytem et la banlieue sud.
Le conseiller politique du président de la Chambre, Ali Hassan Khalil, a été l'une des premières personnalités politiques à réagir à l'autocritique explosive à laquelle s'est livré le Premier ministre. Cette prise de position, a affirmé le numéro deux du mouvement Amal, « peut servir de base à une réévaluation de toute la phase politique passée, et pose à nouveau, dans les bons termes, la question du caractère privilégié des relations qui doivent exister entre le Liban et la Syrie ».Un écho de la volonté saoudienne d'apaisement, caractéristique de la déclaration de M. Hariri, s'est retrouvé hier dans l'édition du Watan saoudien. Ce...
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