« Il est désolant qu'un homme censé soutenir la première présidence et contribuer, lui plus qu'un autre, à l'immuniser, se permette de s'en prendre de cette façon au chef de l'État, d'autant que le président Michel Sleiman tient plus que quiconque aux intérêts du Liban, garant de la Constitution et bien au-dessus des tiraillements, des égoïsmes et des réactions épidermiques. Il est désolant que certains tentent de s'en prendre à la première présidence et ramènent la polémique au centre de la vie politique alors que tous les efforts tendent vers le calme et que tout le monde fait son possible pour éviter la discorde. Ce n'est pas en attaquant la personne du président de la République que l'on bâtit une nation ou que l'on réalise des réformes et toute personne qui s'estime compétente, capable et soucieuse de l'intérêt du pays devrait mettre tout ce potentiel entre les mains du chef de l'État. Enfin, en ce qui concerne les larmes, tous les Libanais, à commencer par le président Sleiman, pleurent de tristesse lorsqu'ils voient certains dynamiter sciemment le premier poste chrétien au Liban aussi bien que le concept de l'État. »
Liban
Réplique au vitriol de Murr contre le chef du CPL
OLJ / le 06 septembre 2010 à 01h20
« Il est désolant qu'un homme censé soutenir la première présidence et contribuer, lui plus qu'un autre, à l'immuniser, se permette de s'en prendre de cette façon au chef de l'État, d'autant que le président Michel Sleiman tient plus que quiconque aux intérêts du Liban, garant de la Constitution et bien au-dessus des tiraillements, des égoïsmes et des réactions épidermiques. Il est désolant que certains tentent de s'en prendre à la première présidence et ramènent la polémique au centre de la vie politique alors que tous les efforts tendent vers le calme et que tout le monde fait son possible pour éviter la discorde. Ce n'est pas en attaquant la personne du président de la République que l'on bâtit une nation ou que l'on réalise des réformes et toute personne qui s'estime compétente, capable et soucieuse de l'intérêt du pays devrait mettre tout ce potentiel entre les mains du chef de l'État. Enfin, en ce qui concerne les larmes, tous les Libanais, à commencer par le président Sleiman, pleurent de tristesse lorsqu'ils voient certains dynamiter sciemment le premier poste chrétien au Liban aussi bien que le concept de l'État. »