Le président du Parlement, Nabih Berry a refusé que certaines parties considèrent les chiites comme un danger contre le l'État libanais " Nous refusons que les chiites au Liban soient considérés comme des rebelles et que leurs armes soient considérées comme un danger contre l'État et les autres confessions" a-t-il affirmé au cours d'un discours prononcé à l'occasion du 32e anniversaire de la disparition de l'imam Moussa Sadr. Berry a également appellé au "boycott total" de toute conférence arabe ou internationale en Lybie.
Le président du Parlement, Nabih Berry a refusé que certaines parties considèrent les chiites comme un danger contre le l'État libanais " Nous refusons que les chiites au Liban soient considérés comme des rebelles et que leurs armes soient considérées comme un danger contre l'État et les autres confessions" a-t-il affirmé au...
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