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Santé

Infos express

Un an après l'alerte pandémique, le bilan du H1N1 est de 18 156 morts
La grippe H1N1, déclarée première pandémie du XXIe siècle il y a un an, le 11 juin 2009, a provoqué la mort avérée de 18 156 personnes, soit sensiblement moins qu'une grippe saisonnière qui fait entre 250 000 à 500 000 décès par an, a annoncé l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le virus est désormais « globalement peu actif » dans le monde, a indiqué l'agence onusienne, précisant qu'il évolue de manière « sporadique » dans les zones tempérées de l'hémisphère Sud qui entre dans l'hiver austral alors qu'une « transmission active mais déclinante » est relevée dans les régions tropicales.
La « vigilance » reste toutefois de mise, en particulier pour les personnes à risque comme les femmes enceintes et les jeunes, a mis en garde l'OMS, d'autant que le « H1N1 devrait très certainement rester le virus dominant l'hiver prochain ».

Journée mondiale du don de sang : les moins de 25 ans à la traîne
Les moins de 25 ans sont de plus en plus réticents à donner leur sang, selon une enquête publiée hier par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), à l'occasion de la sixième Journée mondiale du don du sang.
Ils ne sont que 38 % à donner leur sang, selon l'étude de l'OMS basée sur des statistiques de 2007 et qui souligne que le sang des plus jeunes est pourtant le plus « sûr » en termes de risque de transmission de virus ou de bactéries (sida, hépatite B, hépatite C et syphilis). Un élément d'autant plus important que 42 pays n'ont pas été en mesure de rechercher dans tous les dons du sang l'une ou plusieurs de ces infections transmissibles par transfusion.
L'OMS estime qu'il suffit que 1 % de la population donne son sang pour couvrir les besoins d'un pays. Mais dans 77 pays, la totalité étant des pays en développement ou en économie de transition, cette proportion est encore inférieure à ce seuil.

Les Écossais vivent dangereusement
Nombre d'Écossais vivent dangereusement, la quasi-totalité reconnaissant mal manger, être gros, buveurs, fumeurs ou non sportifs, et plus d'un sur deux répondant positivement pour au moins trois de ces données.
Des chercheurs, pilotés par le Pr David Conway, professeur à l'Université de Glasgow, ont épluché les données d'une enquête de 2003 sur le mode de vie de 6 574 hommes et femmes. Ils ont noté s'ils étaient fumeurs, buveurs, comment ils mangeaient, s'ils faisaient de l'exercice et s'ils étaient obèses.
« Seulement 2,5 % de la population n'adhère à aucun de ces comportements à risque », a-t-il souligné. Dans d'autres pays riches, le pourcentage est de 6 à 7 %. Quelque 55 % des Écossais étudiés répondent positivement pour au moins trois comportements, soit deux fois plus que dans des pays européens où une étude similaire a été réalisée. Se nourrir mal , avec peu de fruits et de légumes, est le comportement à risque le plus fréquent. Il concerne quatre personnes sur cinq.

Alzheimer : les grands laboratoires partagent leurs échecs
La Coalition contre les grandes maladies, qui regroupe sociétés pharmaceutiques et associations de soutien aux malades, a annoncé dans un communiqué le lancement d'une « nouvelle base de données de plus de 4 000 patients atteints de la maladie d'Alzheimer qui ont participé à onze essais clinique menés par l'industrie ».
« Il s'agit de la première base de données d'essais cliniques combinés à être ouverte librement par les sociétés pharmaceutiques et mise à disposition aux chercheurs qualifiés dans le monde entier », a expliqué cette coalition dans un communiqué. Et de préciser que le niveau de détail et l'ampleur de cette base de données permettront aux chercheurs de prédire plus précisément la véritable évolution de plusieurs maladies neurodégénératives, offrant ainsi la possibilité de concevoir des essais cliniques plus efficaces.

Quand la télé bloque les ados
Obésité, violence, troubles du comportement... la télévision et Internet sont fréquemment présentés comme à l'origine de ces maux des sociétés modernes.
Un travail australien a même suggéré que le risque de mort cardio-vasculaire pourrait être augmenté de 20 % pour chaque heure passée quotidiennement devant un poste de télévision, a rapporté l'agence Destination santé. Une étude norvégienne menée sur 30 000 adolescents fans de « petit écran » vient noircir un peu plus le tableau cathodique, démontrant que chez certains adolescents, le développement de douleurs récurrentes (mal de dos, douleurs cervicales, douleurs dans les épaules, céphalées à répétition) pourrait être lié au temps qu'ils passent devant un écran. L'étude, toutefois, ne précise pas le nombre d'heures maximum et la bonne position à adopter pour s'adonner « en toute sécurité » à la sédentarité télévisuelle.
Un an après l'alerte pandémique, le bilan du H1N1 est de 18 156 mortsLa grippe H1N1, déclarée première pandémie du XXIe siècle il y a un an, le 11 juin 2009, a provoqué la mort avérée de 18 156 personnes, soit sensiblement moins qu'une grippe saisonnière qui fait entre 250 000 à 500 000...

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