La Corée, à l’instar de son capitaine Park Ji-sung, mise tous ses espoirs sur ce premier match face à la Grèce. En cas de défaite ou de nul, la suite risque d’être compliquée contre les deux favoris du groupe, Argentine et Nigeria, les équipes anglaise et américaine partant favorites du groupe C. Aris Messinis/AFP
En cas de nul, les deux sélections verraient sans doute une bonne partie de leurs ambitions s'enfoncer dans les profondeurs de l'océan Indien, qui jouxte le Nelson Mandela Bay Stadium.
Le capitaine sud-coréen Park Ji-sung s'attend à voir des buts : « Ce match ne sera pas fermé. Les deux équipes se doivent de gagner, alors elles vont attaquer et être agressives », estime-t-il.
La rencontre sera l'occasion d'une belle opposition de style entre des Grecs aux gabarits impressionnants et des Sud-Coréens à la redoutable vivacité.
Invaincus lors des éliminatoires (7 victoires et 7 nuls), les hommes de Huh Jung-moo veulent effacer 2006 (élimination au premier tour) pour renouer avec la gloire de 2002 (demi-finalistes du Mondial co-organisé avec le Japon).
La Grèce fut, elle, un inattendu vainqueur de l'Euro 2004. Toujours dirigée par le charismatique technicien allemand Otto Rehhagel, elle a montré sa force de caractère en décrochant son billet lors des barrages contre l'Ukraine. Mais la récente blessure de Moras, titulaire habituel en défense centrale, pose la question d'un repositionnement tactique.
« On n'a pas réussi à faire exactement tout ce que nous avions envisagé, mais c'est le cas d'autres équipes », a reconnu Rehhagel.
Les Grecs devront également oublier au plus vite le cambriolage dont certains joueurs ont été victimes mardi à leur camp de base de Durban.
Le capitaine sud-coréen Park Ji-sung s'attend à voir des buts : « Ce match ne sera pas fermé. Les deux équipes se doivent de gagner, alors elles vont attaquer et être agressives », estime-t-il.
La rencontre sera l'occasion d'une belle opposition de style entre des Grecs aux gabarits impressionnants et des Sud-Coréens à la redoutable vivacité.
Invaincus lors des éliminatoires (7 victoires et 7 nuls), les hommes de Huh Jung-moo veulent effacer 2006 (élimination au premier tour) pour renouer avec la gloire de 2002 (demi-finalistes du Mondial co-organisé avec le Japon).
La Grèce fut, elle, un inattendu vainqueur de l'Euro 2004. Toujours dirigée par le charismatique technicien allemand Otto Rehhagel, elle a montré sa force de caractère en décrochant son billet lors des barrages contre l'Ukraine. Mais la récente blessure de Moras, titulaire habituel en défense centrale, pose la question d'un repositionnement tactique.
« On n'a pas réussi à faire exactement tout ce que nous avions envisagé, mais c'est le cas d'autres équipes », a reconnu Rehhagel.
Les Grecs devront également oublier au plus vite le cambriolage dont certains joueurs ont été victimes mardi à leur camp de base de Durban.
En cas de nul, les deux sélections verraient sans doute une bonne partie de leurs ambitions s'enfoncer dans les profondeurs de l'océan Indien, qui jouxte le Nelson Mandela Bay Stadium.Le capitaine sud-coréen Park Ji-sung s'attend à voir des buts : « Ce match ne sera pas fermé. Les deux équipes se doivent de gagner, alors elles...
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