"Nous veillerons à ce que personne n'attaque le Liban" a-t-il dit.
Le président de la République française, Nicolas Sarkozy a "marqué sa préoccupation face aux tensions qui se développent dans la région", indique le communiqué. "Il est crucial que chacun fasse preuve de responsabilité et s'abstienne d'actions susceptibles de nourrir ou d'accroître ces tensions et d'affecter la stabilité régionale", a dit le chef de l'État français.
M. Sarkozy a "exprimé son souhait de voir surmonté le blocage qui touche l'ensemble des volets du processus de paix au Proche-Orient, et souligné l'engagement de la France à cette fin".
"Rappelant le soutien constant de la France au Liban, à travers notamment trois conférences économiques et financières et un engagement continu au sein de la FINUL", le président français a assuré M. Hariri "que la France se tenait aux côtés du Liban et des Libanais", ajoute le communiqué.
Le président israélien Shimon Peres a accusé la Syrie de fournir au Hezbollah des missiles Scud, susceptibles d'atteindre l'ensemble du territoire d'Israël. Les États-Unis, emboîtant le pas, ont demandé des explications sans pouvoir confirmer l'existence de ces livraisons.
Les États-Unis, qui considèrent le Hezbollah comme un mouvement terroriste, ont averti contre le "risque important" qu'un transfert de missiles et d'armements sophistiqués pourrait faire peser sur le Liban.
Le président de la République française, Nicolas Sarkozy a "marqué sa préoccupation face aux tensions qui se développent dans la région", indique le communiqué. "Il est crucial que chacun fasse preuve de responsabilité et s'abstienne d'actions ...
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