"Le secrétaire général réaffirme l'engagement des Nations unies en faveur des efforts du Tribunal spécial pour le Liban pour découvrir la vérité, afin de traduire les responsables en justice et mettre fin à l'impunité au Liban", a dit Martin Nesirky dans un communiqué.
Le 14 février 2005, Rafic Hariri et 22 autres personnes avaient été tués dans un attentat au camion piégé à Beyrouth. La Syrie, qui exerçait une hégémonie militaire et politique depuis près de 30 ans sur son petit voisin, avait été immédiatement montrée du doigt mais a toujours nié toute implication.
L'affaire avait contraint Damas à retirer ses troupes du Liban en avril 2005.
Le drame avait été suivi par l'assassinat de plusieurs personnalités libanaises antisyriennes et une crise politique aiguë.
Un tribunal international basé à La Haye a été créé pour juger les suspects, aux termes d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU adoptée en 2007.
Une commission d'enquête indépendante mise sur pied par l'ONU avait dans un premier temps affirmé avoir trouvé des indices d'une implication des services de renseignement syriens et libanais, mais aucun suspect n'est actuellement détenu.
"Le secrétaire général réaffirme l'engagement des Nations unies en faveur des efforts du Tribunal spécial pour le Liban pour découvrir la vérité, afin de traduire les responsables en justice et mettre fin à l'impunité au Liban", a dit Martin Nesirky dans un communiqué.
Le 14 février 2005, Rafic Hariri...
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