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Santé

Brèves

Des variations génétiques influant sur le rythme cardiaque
Des chercheurs ont identifié des variations génétiques qui influent sur le rythme des battements du cœur, ce qui pourrait permettre à terme d'améliorer les traitements de ses anomalies.
Ces travaux, publiés en ligne dans la revue spécialisée Nature Genetics, ont été réalisés respectivement par la société de CODE Genetics (Islande), l'Imperial College de Londres et le Helmholtz Zentrum de Munich (Allemagne).
Les trois équipes ont conduit séparément ces recherches en comparant le patrimoine génétique, l'ADN, de plusieurs dizaines de milliers de personnes d'origine européenne ou indienne.
Les gènes étudiés contrôlent l'impulsion électrique naturelle qui est transmise au muscle cardiaque, dont les contractions font circuler le sang dans l'organisme.
Les porteurs de certaines variétés de ces gènes peuvent être davantage susceptibles, ou à l'inverse moins susceptibles, de développer des problèmes de rythme cardiaque, explique l'un des auteurs, le Dr John Chambers de Londres.

Les calories affichées dans les restaurants américains, souvent sous-estimées
De plus en plus de restaurants américains mettent un point d'honneur à afficher sur leurs menus la teneur en calories de leurs plats, un décompte toutefois souvent bien inférieur à la réalité, selon une étude publiée cette semaine aux États-Unis.
Des chercheurs de la faculté de science nutritionnelle de l'Université Tufts ont démontré que près de la moitié des plats servis dans les restaurants américains contenaient davantage de calories, parfois le double que ce qui était affiché.
Ils ont analysé le contenu de 18 plats proposés par cinq grandes chaînes de restaurants populaires ainsi que 11 plats offerts par les chaînes de restauration rapide. Une dizaine de plats cuisinés congelés ont également été analysés.
En moyenne, les plats des restaurants recelaient 18 % de calories de plus que ce qui était affiché, tandis que la teneur en calories des plats congelés était supérieure de 8 % à l'étiquette.

Déclin cognitif : le Ginkgo biloba prouve à nouveau son inefficacité !
Le Ginkgo biloba ne ralentit pas le déclin cognitif. C'est ce que prouve une nouvelle étude, menée aux États-Unis entre 2000 et 2008 et publiée dans la revue JAMA, rapporte l'agence Destination santé. En dépit des vertus qui lui sont prêtées, le Ginkgo biloba a déjà prouvé par le passé qu'il ne prévenait pas la maladie d'Alzheimer ou les autres démences. Et qu'il ne traitait pas davantage les acouphènes. Il n'a pas non plus d'effets sur la mémoire, le langage, l'attention, ou les capacités visuelles.
Une étude américaine avait déjà montré l'inefficacité de cette plante ancestrale sur la prévention des démences. Plus de 3 000 participants, âgés de 72 à 96 ans, avaient reçu soit 120 mg d'extrait de Ginkgo deux fois par jour, soit un placebo. Résultat : l'inefficacité de cette plante sur les capacités cognitives globales a été une nouvelle fois confirmée.
Des variations génétiques influant sur le rythme cardiaqueDes chercheurs ont identifié des variations génétiques qui influent sur le rythme des battements du cœur, ce qui pourrait permettre à terme d'améliorer les traitements de ses anomalies.Ces travaux, publiés en ligne dans la revue spécialisée Nature...

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