L'attaquant italien d'origine ghanéenne de l'Inter Mario Balotelli, qui s'était dit dégoûté mercredi par des huées des supporteurs du Chievo, a précisé hier sur son site Internet qu'il s'excusait auprès du public resté correct, mais maintenait ses critiques envers les autres.
« Je ne m'excuse pas auprès de ceux qui m'ont insulté, mais auprès de l'autre partie du public qui n'a rien à voir et que j'ai offensé avec mes propos car j'étais exaspéré », a écrit le jeune attaquant.
« Je veux dire une chose : chaque fois que je viens ici à Vérone, je me rends compte que ce public me dégoûte de plus en plus. Tout cela est inacceptable », avait déclaré mercredi le joueur sur la chaîne Sky Sport, quelques secondes après la fin de la rencontre remportée par l'Inter (0-1) grâce à un but qu'il avait lui-même inscrit à la 12e minute.
« J'aurais dû préciser que je suis dégoûté par les supporteurs qui m'ont conspué à Vérone, comme ceux qui me sifflent dans d'autres stades d'Italie, car au lieu de profiter d'un beau match de football, ils ne pensent qu'à m'insulter », a poursuivi Mario Balotelli.
« Je suis fatigué d'entendre des slogans et des cris racistes même quand je me comporte bien sur le terrain. Et je ne suis pas le seul concerné. C'est une honte qui doit cesser », a-t-il ajouté.
Le jeune attaquant a également précisé qu'« il n'a rien contre Vérone, une ville qui m'a tellement plu que je suis allé visiter la maison de Juliette ».
La sortie mercredi du jeune footballeur de 19 ans, régulièrement visé par les insultes des tifosi adverses, voire par des cris ou des chants racistes, a d'autant plus surpris qu'il s'abstient généralement de toute déclaration.
« Je ne m'excuse pas auprès de ceux qui m'ont insulté, mais auprès de l'autre partie du public qui n'a rien à voir et que j'ai offensé avec mes propos car j'étais exaspéré », a écrit le jeune attaquant.
« Je veux dire une chose : chaque fois que je viens ici à Vérone, je me rends compte que ce public me dégoûte de plus en plus. Tout cela est inacceptable », avait déclaré mercredi le joueur sur la chaîne Sky Sport, quelques secondes après la fin de la rencontre remportée par l'Inter (0-1) grâce à un but qu'il avait lui-même inscrit à la 12e minute.
« J'aurais dû préciser que je suis dégoûté par les supporteurs qui m'ont conspué à Vérone, comme ceux qui me sifflent dans d'autres stades d'Italie, car au lieu de profiter d'un beau match de football, ils ne pensent qu'à m'insulter », a poursuivi Mario Balotelli.
« Je suis fatigué d'entendre des slogans et des cris racistes même quand je me comporte bien sur le terrain. Et je ne suis pas le seul concerné. C'est une honte qui doit cesser », a-t-il ajouté.
Le jeune attaquant a également précisé qu'« il n'a rien contre Vérone, une ville qui m'a tellement plu que je suis allé visiter la maison de Juliette ».
La sortie mercredi du jeune footballeur de 19 ans, régulièrement visé par les insultes des tifosi adverses, voire par des cris ou des chants racistes, a d'autant plus surpris qu'il s'abstient généralement de toute déclaration.
L'attaquant italien d'origine ghanéenne de l'Inter Mario Balotelli, qui s'était dit dégoûté mercredi par des huées des supporteurs du Chievo, a précisé hier sur son site Internet qu'il s'excusait auprès du public resté correct, mais maintenait ses critiques envers les autres.« Je ne m'excuse pas auprès de ceux...
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