Une nouvelle guerre israélienne contre le Liban fait en quelque sorte l'objet d'un désaccord entre les commandements politique et militaire israélien, indépendamment de son objectif. Si, pour les deux, la frappe se justifie par le fait que le Liban et notamment le Hezbollah ne respectent pas la résolution 1701 du Conseil de sécurité, il est peu probable qu'elle ait lieu, les avis étant partagés en Israël au sujet de l'opportunité d'une telle guerre. Si l'Iran développe cependant une arme nucléaire pouvant présenter un danger certain pour Israël, les deux commandements militaires et politique seraient d'accord pour frapper simultanément les installations nucléaires iraniennes ainsi que le Hezbollah pour éviter que celui-ci ne vole au secours de Téhéran en ouvrant un front avec Israël.
Telle est en gros la teneur des informations diplomatiques parvenues au Liban de plusieurs capitales directement concernées par la stabilité dans le pays, dans la mesure où leurs armées participent à la Finul.
Ainsi, selon des sources européennes, le renforcement de la sécurité dans la bande frontalière protège le Liban et barre certainement la voie à une nouvelle opération militaire israélienne, quels que soient ses mobiles. On souligne aussi que les chancelleries des pays participant à la Finul s'efforcent de recueillir des informations sur l'éventualité d'une nouvelle guerre contre le Liban, soit à travers les ambassades israéliennes dans leurs capitales, soit à travers leurs propres représentations diplomatiques dans l'État hébreu.
Si certains diplomates israéliens présentent comme étant imminente une frappe contre le Hezbollah, qui s'étendrait également à des objectifs vitaux libanais, des ambassadeurs européens, citant des responsables des ministères israéliens de la Défense et des Affaires étrangères, soulignent que ces propos sont exagérés.
Les dirigeants israéliens, indique-t-on de mêmes sources, sont satisfaits de l'application de la 1701 et du calme qui prévaut à la frontière en dépit de quelques incidents isolés.
De mêmes sources, on fait état d'informations provenant du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, selon lesquelles la résolution 1701 pourrait servir de base pour isoler la situation au Liban-Sud du conflit avec l'Iran.
Telle est en gros la teneur des informations diplomatiques parvenues au Liban de plusieurs capitales directement concernées par la stabilité dans le pays, dans la mesure où leurs armées participent à la Finul.
Ainsi, selon des sources européennes, le renforcement de la sécurité dans la bande frontalière protège le Liban et barre certainement la voie à une nouvelle opération militaire israélienne, quels que soient ses mobiles. On souligne aussi que les chancelleries des pays participant à la Finul s'efforcent de recueillir des informations sur l'éventualité d'une nouvelle guerre contre le Liban, soit à travers les ambassades israéliennes dans leurs capitales, soit à travers leurs propres représentations diplomatiques dans l'État hébreu.
Si certains diplomates israéliens présentent comme étant imminente une frappe contre le Hezbollah, qui s'étendrait également à des objectifs vitaux libanais, des ambassadeurs européens, citant des responsables des ministères israéliens de la Défense et des Affaires étrangères, soulignent que ces propos sont exagérés.
Les dirigeants israéliens, indique-t-on de mêmes sources, sont satisfaits de l'application de la 1701 et du calme qui prévaut à la frontière en dépit de quelques incidents isolés.
De mêmes sources, on fait état d'informations provenant du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, selon lesquelles la résolution 1701 pourrait servir de base pour isoler la situation au Liban-Sud du conflit avec l'Iran.
Une nouvelle guerre israélienne contre le Liban fait en quelque sorte l'objet d'un désaccord entre les commandements politique et militaire israélien, indépendamment de son objectif. Si, pour les deux, la frappe se justifie par le fait que le Liban et notamment le Hezbollah ne respectent pas la résolution 1701 du Conseil de sécurité, il est peu...
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