En réduisant la marque par Pecnik en toute fin de match, la Slovénie a ménagé le suspense en Russie, au match aller des barrages du Mondial 2010. Les Russes s'imposent toutefois 2-1 et prennent une courte option.
La Russie peut dire merci à son gardien Akinfeev auteur d'une parade monstrueuse dans les arrêts de jeu pour préserver le (court) succès de la Russie sur la Slovénie (2-1), au match aller des barrages au Mondial 2010. La sélection de Guus Hiddink a donc pris l'avantage, mais elle a montré ses limites en toute fin de match devant Njec Pecnik à l'affût d'un ballon hasardeux dans la surface de réparation (87e) puis face au défenseur Marko Suler venus aider les siens dans les arrêts de jeu de la rencontre. C'est là que le gardien Akinfeev fera la différence.
La Russie domine, mais se fait peur
Hormis ces deux alertes, la Russie a franchement dominé l'essentiel des débats sur sa pelouse.
Les partenaires d'Arshavin ont fait la différence par le même homme, le milieu d'Everton, Diniyar Bilyaletdinov.
Dans son jardin moscovite, l'ancien du Lokomotiv s'est bien fait plaisir, à la 40e d'abord, d'une frappe depuis la droite sous le flanc de Handanovic. Et à la reprise, à la 51e minute de jeu, pour reprendre victorieusement un corner frappé par Andrei Arshavine.
Avec ces deux buts d'avance, la Russie s'est efforcée de gérer par la suite tout en profitant des contres pour tenter de bonifier encore son succès initial.
Mais à trop vouloir conserver ce viatique, elle s'est fait punir dans les trois dernières minutes du match. La suite, on la connaît, Russes et Slovènes se retrouveront ce mercredi chez le deuxième du nom pour se disputer le round final.
La Russie peut dire merci à son gardien Akinfeev auteur d'une parade monstrueuse dans les arrêts de jeu pour préserver le (court) succès de la Russie sur la Slovénie (2-1), au match aller des barrages au Mondial 2010. La sélection de Guus Hiddink a donc pris l'avantage, mais elle a montré ses limites en toute fin de match devant Njec Pecnik à l'affût d'un ballon hasardeux dans la surface de réparation (87e) puis face au défenseur Marko Suler venus aider les siens dans les arrêts de jeu de la rencontre. C'est là que le gardien Akinfeev fera la différence.
La Russie domine, mais se fait peur
Hormis ces deux alertes, la Russie a franchement dominé l'essentiel des débats sur sa pelouse.
Les partenaires d'Arshavin ont fait la différence par le même homme, le milieu d'Everton, Diniyar Bilyaletdinov.
Dans son jardin moscovite, l'ancien du Lokomotiv s'est bien fait plaisir, à la 40e d'abord, d'une frappe depuis la droite sous le flanc de Handanovic. Et à la reprise, à la 51e minute de jeu, pour reprendre victorieusement un corner frappé par Andrei Arshavine.
Avec ces deux buts d'avance, la Russie s'est efforcée de gérer par la suite tout en profitant des contres pour tenter de bonifier encore son succès initial.
Mais à trop vouloir conserver ce viatique, elle s'est fait punir dans les trois dernières minutes du match. La suite, on la connaît, Russes et Slovènes se retrouveront ce mercredi chez le deuxième du nom pour se disputer le round final.
En réduisant la marque par Pecnik en toute fin de match, la Slovénie a ménagé le suspense en Russie, au match aller des barrages du Mondial 2010. Les Russes s'imposent toutefois 2-1 et prennent une courte option.La Russie peut dire merci à son gardien Akinfeev auteur d'une parade monstrueuse dans les arrêts de jeu pour préserver le...
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