Elle en fait battre des cœurs, cette campagne, depuis la semaine dernière ! L'éphèbe aux yeux bleus, à l'épi ébouriffé par un chagrin banal, annonçait l'ouverture de la boutique Canali, rue Foch, au centre-ville.
Giorgio Canali, de la troisième génération Canali, représentait l'entreprise familiale à Beyrouth. L'occasion de rencontrer ce jovial et dynamique businessman italien, chargé des « Affaires extérieures » de l'un des plus célèbres tailleurs pour homme au monde.
Ne l'appelez surtout pas « Georges », comme font les Américains. Quand on s'appelle Canali, le seul moyen d'exister en dehors de la firme, c'est encore de défendre son prénom.
Giorgio donc a grandi au milieu des machines à coudre, des grands rouleaux de draps précieux et des odeurs de fibres. Une affaire d'hommes de bout en bout, transmise du grand-père au père et puis aux fils, avec un seul mot d'ordre : maintenir une qualité supérieure et rester à la pointe des tendances. Depuis peu, la marque, qui produit près de 5000 costumes par jour, fabrique également des accessoires, chaussures, maroquinerie, chemises, et s'engage même en parfumerie.
S'il n'est pas capable, à l'instar de son frère, de tailler un patron, G. Canali est en revanche intarissable sur les performances de son entreprise. Très prisée des New-Yorkais, la griffe Canali est également connue à Beyrouth où elle était jusqu'à présent distribuée dans des magasins multimarque. L'inauguration de la franchise au centre-ville a été célébrée « à la libanaise », non pas au taboulé, mais avec un enthousiasme et une gaieté qui semblent, au dire de nombreux représentants du luxe, avoir disparu dans le reste du monde.
L'équipe de couturiers sur mesure qui accompagnait l'événement a été vite submergée de commandes, le rapport qualité-prix de Canali se révélant exceptionnel dans sa catégorie. Une aventure à suivre.
Giorgio Canali, de la troisième génération Canali, représentait l'entreprise familiale à Beyrouth. L'occasion de rencontrer ce jovial et dynamique businessman italien, chargé des « Affaires extérieures » de l'un des plus célèbres tailleurs pour homme au monde.
Ne l'appelez surtout pas « Georges », comme font les Américains. Quand on s'appelle Canali, le seul moyen d'exister en dehors de la firme, c'est encore de défendre son prénom.
Giorgio donc a grandi au milieu des machines à coudre, des grands rouleaux de draps précieux et des odeurs de fibres. Une affaire d'hommes de bout en bout, transmise du grand-père au père et puis aux fils, avec un seul mot d'ordre : maintenir une qualité supérieure et rester à la pointe des tendances. Depuis peu, la marque, qui produit près de 5000 costumes par jour, fabrique également des accessoires, chaussures, maroquinerie, chemises, et s'engage même en parfumerie.
S'il n'est pas capable, à l'instar de son frère, de tailler un patron, G. Canali est en revanche intarissable sur les performances de son entreprise. Très prisée des New-Yorkais, la griffe Canali est également connue à Beyrouth où elle était jusqu'à présent distribuée dans des magasins multimarque. L'inauguration de la franchise au centre-ville a été célébrée « à la libanaise », non pas au taboulé, mais avec un enthousiasme et une gaieté qui semblent, au dire de nombreux représentants du luxe, avoir disparu dans le reste du monde.
L'équipe de couturiers sur mesure qui accompagnait l'événement a été vite submergée de commandes, le rapport qualité-prix de Canali se révélant exceptionnel dans sa catégorie. Une aventure à suivre.
Elle en fait battre des cœurs, cette campagne, depuis la semaine dernière ! L'éphèbe aux yeux bleus, à l'épi ébouriffé par un chagrin banal, annonçait l'ouverture de la boutique Canali, rue Foch, au centre-ville. Giorgio Canali, de la troisième génération Canali, représentait...
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