Rechercher
Rechercher

Liban

Brèves

Boutros chez Siniora...

 

Le Premier ministre sortant Fouad Siniora s'est entretenu hier au Sérail avec l'ancien ministre Fouad Boutros, avec qui il a procédé à un tour d'horizon de la situation politique.


... et Sison chez Geagea

 

Le président du comité exécutif des Forces libanaises, Samir Geagea, a reçu hier à Meerab l'ambassadrice des États-Unis, Michelle Sison, en présence notamment du responsable des relations extérieures au sein du parti, Joseph Nehmé. L'entretien a porté sur le plan Mitchell pour la relance du processus de paix régional, que l'émissaire américain doit remettre dans les prochains jours aux deux parties israélienne et palestinienne. M. Geagea et Mme Sison ont également évoqué la situation au Liban-Sud. Ils ont mis l'accent, dans ce cadre, sur la nécessité du renouvellement du mandat de la Finul et ont dit ne pas s'attendre à un retrait israélien prochain de Ghajar et des fermes de Chebaa en attendant le plan Mitchell. L'entretien a enfin porté sur l'expiration, en septembre, des délais donnés à l'Iran pour répondre aux questions sur le nucléaire iranien.

Aoun déclare ses biens au Conseil constitutionnel

 

Le chef du Bloc parlementaire du changement et de la réforme, le député Michel Aoun, a déclaré hier ses biens mobiliers et immobiliers au président du Conseil constitutionnel, Issam Sleiman, conformément à la loi sur l'enrichissement illicite.

 

Hassan Fadlallah déplore le ton du discours politique

 

Le député du Hezbollah, Hassan Fadlallah, a estimé hier que « l'escalade dans le discours politique porte atteinte au processus de formation du gouvernement et complique la situation ». « Il est devenu nécessaire de mettre le processus de formation à l'écart des polémiques et des tiraillements et de revenir au dialogue, s'il existe vraiment une volonté sérieuse de mener à bien la mission », a-t-il indiqué dans le cadre d'une cérémonie à Ghobeiré. « L'ouverture d'une polémique politique et médiatique, et la tentative de lancer des accusations de torpillage et de blocage directement ou indirectement, que ce soit de la part de groupes ou d'individus, expriment une incapacité à faire face aux problèmes réels et une tentative de créer une diversion par rapport aux véritables obstacles (...). Persister dans cette politique ne mènera pas à la formation du cabinet », a ajouté M. Fadlallah.

Hassan Khalil appelle toutes les parties à faciliter la formation du cabinet

 

Le député Ali Hassan Khalil (Amal) a appelé hier « toutes les parties à s'élever au-dessus des considérations qui empêchent encore le retour du pays à un climat de stabilité politique à travers la formation d'un cabinet d'union nationale ». M. Hassan Khalil, qui s'exprimait au cours d'une cérémonie de remise de diplômes à Saïda, a estimé qu'il est « du devoir de tout le monde de faciliter la formation du cabinet de partenariat et d'unité ». « On ne fait pas face aux défis par des capacités individuelles, ou grâce aux capacités d'un groupe ou d'un parti déterminé, mais par une volonté commune et un engagement commun », a poursuivi le député du mouvement Amal, exhortant toutes les parties au respect de la formule ministérielle qui a déjà fait l'objet d'un accord, loin des polémiques médiatiques.

Rahmé : Aoun doit consulter son camp avant de choisir les noms de ses ministres

 

Le député Émile Rahmé a estimé hier, dans le cadre d'un entretien accordé à la chaîne OTV, qu'il était inacceptable que le Premier ministre désigné devienne une « boîte aux lettres », et qu'il avait le droit d'accepter ou de refuser telle ou telle proposition dans le cadre du processus de formation du cabinet. M. Rahmé a également indiqué que le général Michel Aoun devait consulter son camp avant de désigner les noms de ses ministres. Il a enfin salué la dernière réunion entre l'ancien Premier ministre Omar Karamé et le Premier ministre désigné Saad Hariri.

 

Hardane : La participation du PSNS, une « nécessité nationale »

 

Le président du Parti syrien national social (PSNS), le député Assaad Hardane, a estimé que la crise actuelle dans la formation du cabinet est le résultat des ingérences étrangères au niveau des forces du 14 Mars, dans le but de continuer à faire du Liban une arène ouverte aux interventions de l'étranger et continuellement plongée dans des zizanies internes. M. Hardane, qui s'exprimait au cours d'un congrès du parti au Coral Beach, a estimé que la participation du PSNS au sein d'un cabinet d'union nationale constitue « une nécessité nationale », dans la mesure où « un processus d'unification du pays sans la participation des forces qui constituent un trait d'union entre les différentes régions et communautés n'a aucune valeur ».

Boutros chez Siniora...
 
Le Premier ministre sortant Fouad Siniora s'est entretenu hier au Sérail avec l'ancien ministre Fouad Boutros, avec qui il a procédé à un tour d'horizon de la situation politique.
... et Sison chez Geagea
 
Le président du comité exécutif des Forces libanaises, Samir Geagea, a reçu hier à...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut