Sébastien Loeb, quintuple champion du monde en titre et vainqueur l'an dernier en Finlande, souhaite « repartir de plus belle » à l'occasion de l'ex-rallye des 1 000 Lacs, pilier historique du championnat du monde WRC, qu'il a remporté l'an dernier. Voici ce qu'il a dit à l'AFP à ce propos :
Q - Comment se présente le championnat à quatre rallyes de la fin ?
R - « Depuis nos petits soucis sur les dernières courses, on a perdu toute notre avance. Pour gagner un rallye, il faut que tout aille bien. C'est un ensemble de choses et la chance nous a souri pendant les cinq premières courses de la saison. C'était plus compliqué pour les trois suivantes, avec des causes différentes. En Pologne, on a vu après qu'il y avait un défaut de soudure sur une pièce, alors le berceau s'est cassé sur une bosse, c'était un coup de pas de chance. Ça repart à zéro, avec même un petit point de retard, alors il faut repartir de plus belle. Un abandon de Hirvonen ou de moi peut être le tournant du championnat, donc il faut éviter cela à tout prix. Il faut aussi se battre pour la victoire en faisant abstraction du risque. C'est une situation tendue. »
Q - Quelle sera votre stratégie ?
R - « Il n'y aura pas de stratégie de course car le fait d'être premier sur la route n'est pas un gros handicap ici. La différence se fait à l'attaque, les écarts sont toujours très faibles, il faut tout donner à 110 % du début à la fin. C'est un rallye très rapide, on sent qu'il y a des risques, des arbres tout près de la route. Il faut avoir confiance dans les notes, dans la voiture, dans son pilotage, et on n'a pas de droit à l'erreur. C'est une question de feeling, il faut se sentir libéré. J'espère qu'on arrivera à être dans le coup comme l'an dernier. »
Q - Vos vacances ont-elles été perturbées par les histoires de F1 ?
R - « J'aurais aimé passer des vacances plus tranquilles, et j'ai dû répondre à des interviews pour dire que je n'avais pas du tout l'intention de remplacer Sébastien Bourdais, que les contacts avec Red Bull étaient restés vagues. Ça faisait beaucoup d'histoires pour pas grand-chose, pour quelques paroles mal interprétées. Je dis souvent des choses en rigolant, il ne faut pas les prendre au premier degré. Et peut-être qu'il ne faut pas toujours tout dire. »
Q - Comment se présente le championnat à quatre rallyes de la fin ?
R - « Depuis nos petits soucis sur les dernières courses, on a perdu toute notre avance. Pour gagner un rallye, il faut que tout aille bien. C'est un ensemble de choses et la chance nous a souri pendant les cinq premières courses de la saison. C'était plus compliqué pour les trois suivantes, avec des causes différentes. En Pologne, on a vu après qu'il y avait un défaut de soudure sur une pièce, alors le berceau s'est cassé sur une bosse, c'était un coup de pas de chance. Ça repart à zéro, avec même un petit point de retard, alors il faut repartir de plus belle. Un abandon de Hirvonen ou de moi peut être le tournant du championnat, donc il faut éviter cela à tout prix. Il faut aussi se battre pour la victoire en faisant abstraction du risque. C'est une situation tendue. »
Q - Quelle sera votre stratégie ?
R - « Il n'y aura pas de stratégie de course car le fait d'être premier sur la route n'est pas un gros handicap ici. La différence se fait à l'attaque, les écarts sont toujours très faibles, il faut tout donner à 110 % du début à la fin. C'est un rallye très rapide, on sent qu'il y a des risques, des arbres tout près de la route. Il faut avoir confiance dans les notes, dans la voiture, dans son pilotage, et on n'a pas de droit à l'erreur. C'est une question de feeling, il faut se sentir libéré. J'espère qu'on arrivera à être dans le coup comme l'an dernier. »
Q - Vos vacances ont-elles été perturbées par les histoires de F1 ?
R - « J'aurais aimé passer des vacances plus tranquilles, et j'ai dû répondre à des interviews pour dire que je n'avais pas du tout l'intention de remplacer Sébastien Bourdais, que les contacts avec Red Bull étaient restés vagues. Ça faisait beaucoup d'histoires pour pas grand-chose, pour quelques paroles mal interprétées. Je dis souvent des choses en rigolant, il ne faut pas les prendre au premier degré. Et peut-être qu'il ne faut pas toujours tout dire. »
Sébastien Loeb, quintuple champion du monde en titre et vainqueur l'an dernier en Finlande, souhaite « repartir de plus belle » à l'occasion de l'ex-rallye des 1 000 Lacs, pilier historique du championnat du monde WRC, qu'il a remporté l'an dernier. Voici ce qu'il a dit à l'AFP à ce propos :Q - Comment se présente le...
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